Gohardière-Gomu
Gohardière. Gohard, god = dieu, et
hard = dur, fort, nom de personne d’origine germanique.
41 La Gohardière. Cne de Sargé-sur-Braye. La Gohardière,
située paroisse de Saint Cyr de Sargé, vers 1665 (A.D. 41-G 273,
aveu de René Élisée Darrot, marquis des Radrets) ; Les
Gohardières, 1812 (Cadastre) ; Les Gohardières, 1949 (Cadastre).
Gohier. Louis Jérôme Gohier. Variante de Godier, god = dieu, et hari = armée ; nom de personne d’origine germanique.
37 Impasse Gohier. Cne de Tours. Impasse Gohier, 1975 (Cadastre).
37 Rue Gohier. Cne de Tours. Rue Nouvelle 22 avril 1872 (Délibération
du Conseil Municipal) ; Rue Gohier, 27 septembre 1889 (Délibération
du Conseil Municipal) ; Rue Gohier, 1975 (Cadastre).
Gohière. Gohier, nom de personne d’origine germanique.
28 La Gohière. Cne de La Chapelle-Fortin. La Joyère, 1487 (A.D. 28-E, Seigneurie de La Ferté-Vidame) ; La Goherière, 1535 (A.D. 28-E, Seigneurie de La Ferté-Vidame) ; Antoine de Latour, sieur de la Gohière, 1550 (A.D. 28-E 2108) ; Fief de la Gohière, relevant de La Ferté Vidame, 1623 (A.D. 8-E 196) ; François de Durcet, sieur de la Gohière, 1633 (A.D. 28-G 1362) ; Jean de Guéroult, bailli de Nogent le Retrou, sieur de la Gohière, 1634 (A.D. 28-G 8156) ; Christophe du Bouchet, sieur de la Gohière, 1643 ;Christophe du Boucher, escuyer, sieur de La Goyère, 13 mars 1650 (A.C. de La Chapelle-Fortin-GG 1) ; Louis du Bouchet, sieur de la Gohière, 12 décembre 1650 (A.C. de La Chapelle-Fortin-GG 2) ; Michel du Bouchet, sieur de la Gohière, 13 février 1679 (A.C. de Boissy-lès-Perche-GG 9) ; Christophe du Bouché, escuier, sieur de la Goière, 1683 (A.C. de La Chapelle-Fortin-GG 11) ; Michel Du Boucher, escuier, sieur de La Gohière, 8 mai 1697 (A.C. de La Chapelle-Fortin-GG 7) ; Michel du Bouchair, alias Michel du Boucher, écuier, sieur de La Gohière, 25 février 1705 (A.C. de La Ferté-Vidame-GG 49) ; Deffunct Michel du Boucher, escuier, sieur dudit lieu de la Gohière, 19 septembre 1721 (A.C. de La Chapelle-Fortin-GG 7) ; Pierre Duval, sieur de la Gohière, 1729 (A.C. de La Chapelle-Fortin-GG 7) ; Vente de la seigneurie de la Gohière et Beltière, paroisse de La Chapelle Fortin, par Françoise de Moucheron, femme de Pierre Vivien, marchand, à Marguerite de Sailly, veuve de Claude Robert de Gogué, seigneur de Moussonvilliers, 1739 (A .D. 28-E 3927) ; La Gohière, 1810 (Cadastre) ; La Gohière, 1938 (Cadastre). Fief relevant de La Ferté-Vidame.
Gohonière. Gohon, même racine
que Godon, racine god = dieu, nom de personne d’origine germanique, avec
chute de la consonne sonore intervocalique d, qui atteste une pénétration
antérieure au VIIe s. de ce nom en français.
28 La Gohonière. Cne de Pontgouin. La Gohonière, 1830 (Cadastre).
Gohory. Bas latin Godehariacus. Godehar, nom
de personne d’origine germanique, et pseudo suffixe iacus.
28 Gohory. Gohere, 1133 (Cartulaire de Thiron, t. 1) ; Gohoriacum, 1210 (A.D.
28-H, Abbaye de Thiron) ; Goheriacum, 1232 (A.D. 28-H, Abbaye de Thiron) ; Gohory,
mars 1386 (A.N.-JJ 128, n° 155, fol. 88) ; Gohori, mars 1411 (A.N.-JJ 165,
n° 123, fol. 76) ; Gohory, 1740 (B.M. d’Orléans, Ms 995, fol.
87) ; Gohory, XVIIIe s. (Carte de Cassini). Délimitation réalisée
d’Yèvres d’avec Gohory par Ordonnance Royale du 2 décembre
1833 : Yèvres reçoit les hameaux de Montemont et de Malassis,
soit 55 habitants ; Gohory reçoit les sections K et L de Yèvres,
soit 194 habitants (A.N.-F 2 II Eure-et-Loir 2, plan annexé à
la minute). Église et prieuré Saint-Michel. Pagus Dunensis. Civitas Carnutum.
28 Rue de Gohory. Cne Nouvelle d’Arrou. Chemin Départemental n° 128, 1959 (Cadastre de Châtillon-en-Dunois) ; Rue de Gohory, 1998 (Cadastre de Châtillon-en-Dunois). Commune de Châtillon-en-Dunois. Tronçon du Chemin Départemental n° 128.
Gohotte. Gohot, nom de personne d’origine
française. Le féminin sous-entend terre ou correspond à
la transcription phonétique de la prononciation ligérienne de
la finale ot / otte.
28 La Gohotte. Cne de Berchères-les-Pierres. La Gohotte, 1825 (Cadastre).
Gohuau. Gohuau de Saint Jean.
37 Impasse Gohuau. Cne de Langeais. Impasse Gohuau, 24 novembre 1884 (Délibération
du Conseil Municipal).
Goichère.
37 Les Goichères. Cne d’Ambillou. Les Goichère, 1828 (Cadastre).
Goilandière. Goiland, nom de personne d’origine germanique.
Goimbaudeau. Gombault, nom de personne d’origine germanique, et suffixe diminutif
français eau.
41 Goimbaudeau. Cne de Villerable. Goimbaudeau, 1811 (Cadastre) ; Goimbaudeau,
1966 (Cadastre).
Goimbault. Gund = combat, et bald
= audacieux. Nom de personne d’origine
germanique.
37 Goimbault. Cne de Vernou-sur-Brenne. Pré à Goimbault, commune
de Vernou, 8 juillet 1811 (acte Josse-Tours).
Goimpy. Nom de personne d’origine française.
28 Goimpy. Cne de Saint-Léger-des-Aubées. Foi et hommage par Charles de Montchal , prieur de Roinville, à Philippe de Varenne, seigneur de Rombièes, pour la moitié de la seigneurie de Goimpy, 1584 (A.D. 28-B 1) ; Acquisition par Jean Dumaitz sur ses frères des 2/3 de la seigneurie de Goimpy, 1564 (A.D. 28-E 403) ; Gompis, 1565 (A.D. 28-G, Terrier de Reboulin) ; Actes de foi et hommage par Pasquier et Jean Dumaitz à la seigneurie d’Aunainville pour la seigneurie de Goimpy, 1607. (A.D. 28-E 403) ; Pasquier Dumaitz, seigneur de Goimpy, 1628 (A.D. 28-E 403) ; Louis Dumaitz, seigneur de Goimpy, 1637 (A.C. de Saint-Léger-les-Aubées-GG 1) ; Jean Du Maitz, conseiller du Roy en sa Cour des Aides, seigneur de Saint Léger, Goimpy et autres lieux, 24 octobre 1655 (A.C. de Saint-Léger-les-Aubées-GG 1) ; Jean Dumaiz, seigneur de Goimpy, 1664 (A.D. 28-B 3210) ; Marché pour la construction d'un puits dans le potager de Goimpy, 1693 (A.D. 28-B 3223) ; Henry Dumaitz, chevalier, seigneur de Goimpy, Saint Léger et autres lieux, 18 février 1713 (A.C. de Saint-Léger-les-Aubées-GG 3) ; Foi et hommage par Henri Dumaitz, seigneur de Saint-Léger des Aubées, au fief de Maucafort, paroisse d'Aunainville, pour le fief de Goimpy, 1714 (A.D. 28-B 16) ; Edmée Louise Robert, veuve de messire Gabriel Dumets, conseiller du Roy en ses conseils et Intendant pour le Roy aux Isles du Vent de l'Amérique, chevalier, seigneur de Goimpy et de Saint Léger, 11 avril 1729 (A.C. de Saint-Léger-les-Aubées-GG 1) ; Henry Du Maitz de Goimpy, chevallier, seigneur de Goimpy, Saint Léger des Aubez, les Murs, Levenville, Billencourt en Picardie, Châteaufort et autres lieux, 25 février 1748 (A.C. de Saint-Léger-les-Aubées-GG 3, inhumation) ; Henri Dumaitz, seigneur de Goimpy, 1750 (A.C. de Béville-le-Comte-DD 12) ; Marie Marguerite Antoinette Louise de Pas de Feuquierre, veuve de défunt messire Henry Du Maitz de Goimpy, en son vivant chevalier, seigneur de Goimpy, Saint Léger des Aubez, Les Murs, Levainville, Chauvilliers et autres lieux, 25 septembre 1752 (A.C. de Saint-Léger-les-Aubées-GG 3) ; Pierre Augustin Dumaitz, seigneur de Goimpy, 1764-1766 (A.D. 28-E 616 ; A.C. de Saint-Léger-les-Aubées-GG 6) ; Louis Pierre Dumaitz, seigneur de Goimpy, 1789 (A.D. 28-E 403, 1431) ; Héritages à Goimpy, 11 avril 1791 (A.D. 28-1 Q 3, P.V. 66 n° 513. Biens Nationaux) ; Au terroir de Goimpy, Champtier du Saulx, 6 fructidor an 2 (A.D. 28-1 Q 8, n° 1669. Biens Nationaux) ; Goimpy, 1812 (Cadastre) ; Goimpy, 1953 (Cadastre). Bien National. Fief relevant d’Aunainville.
Goin. Variante : Gouin. Dans
la forme goin, la voyelle o s’est conservée, sans diphtongue, ce
qui suppose une forme intermédiaire gohin. Françoise Goin, 1725 (A.C. de Soulangis-GG). Nom de personne dès le XVe s.
37 Les Goins. Cne de Villebourg. Les Goins, 1834 (Cadastre) ; Les Goins, 1934
(Cadastre).
41 Goin. Cne de Villechauve. Goin, 1835 (Cadastre) ; Goin, 1935 (Cadastre).
Goindrau. Nom de personne d’origine
française.
37 Le Goindrau. Cne de Mettray. Le Goindrau, 1810 (Cadastre) ; Le Goindrau,
1934 (Cadastre).
Goindreville. Variante : Gondreville.
Bas latin Gundrivilla. Gundericus, nom de personne d’origine germanique,
et villa = domaine rural, qui aboutit régulièrement à Gondreville.
Forme latine refaite sur la forme française correcte. L’accent
de Gundericum sur le 2d terme du mot fait que celui-ci aboutit régulièrement
à Gondre.
28 Goindreville. Cne de Thivars. In Gundri Villa, mansos VIIIº, cum brogilo et pratis, vers 949 (Cartulaire de Notre-Dame de Chartres, charte 8, p.80) ; Gondrivilla, vers 954 (Cartulaire Saint-Père-en-Vallée de Chartres, p. 52) ; Apud Gundrevillam, 1213 (Cartulaire de Josaphat, t. 1, chartre 335, p. 377) ; Goindreville, 1232-1744 (A.D. 28-G 136) ; Goindrevilla, 1271 (Cartulaire de l’Eau-lès-Chartres, p. 122) ; Une maison et un pré assis en la ville et ou terrouer de Goindreville, 1349 (A.D. 28-H 3198) ; Antoine Sachet, seigneur de Goindreville, 1560 (A.D. 28-G 136) ; Dieudonné de Vion, seigneur de Goindreville, 1617 (A.C. de Thivars-GG 1) ; Étienne de Collas, seigneur de Goindreville, 5 mars 1659 (A.C. de Thivars-GG 1) ; René de collas, seigneur de Goindreville, 27 octobre 1680 (A.C. de Thivars-GG 5) ; Nicolas Leclerc de Lesseville, seigneur de Goindreville, 1702 ; Château de Goindreville, 1738 (Pouillé de Chartres, p. 51) ; Joseph Antoine Daneil de Pernay, seigneur de Goindreville, 14 juillet 1772 (A.C. de Thivars-GG 14) ; Pré à Goindreville, 1774 (A.D. 28-H 3099) ; Goindreville, paroisse de Thivars, 20 avril 1782 (acte Champion-Chartres) ; Goindreville, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Terres situées à Goindreville, paroisse de Thivars, 7 juin 1791 (AD. 28-1 Q 3, P.V 93, n° 721. Biens Nationaux) ; Terre située à Goindreville, paroisse de Thivars, 31 janvier 1792 (A.D. 28-1 Q 5, P.V 142, n° 1111. Biens Nationaux) ; Terre dont partie en pré et partie en bois, situé au terroir de Goindreville, joignant d’un bout les Communes, 3 pluviôse an 2 (A.D. 28-1 Q 11, n° 93. Biens Nationaux) ; Goindreville, 1825 (Cadastre) ; Goindreville, 1966 (Cadastre). Bien National. Chapelle Saint-Blaise. Fief relevant du duché de Chartres.
Goineau. Goin, nom de personne d’origine
germanique, et suffixe diminutif français eau.
18 Goineau. Cne d’Humbligny. Goineau, 1744 (A.D. 18-17 G, chapitre des
Aix-d’Angillon).
37 Les Goineaux. Cne de Restigné. Les Goineaux, 1830 (Cadastre) ; Les
Goineaux, 1936 (Cadastre).
Goinfrerie. n. f. 1646. Dérivé
de goinfre = débauché, parasite, puis personne qui mange avec
excès. D’abord caractère du goinfre ; propriété
du goinfre.
41 La Goinfrerie. Cne de Pruniers-en-Sologne. La Goinfrerie, 1828 (Cadastre)
; La Goinfrerie, 1937 (Cadastre).
Goinville. Bas latin Gaudeni Villa. Gaudinus,
nom de personne d’origine germanique, et villa = domaine rural. La consonne
sonore intervocalique d disparait régulièrement.
28 Goinville. Cne de Saint-Arnoult-des-Bois. De Gaudeni Villa, vers 820 (Polyptique d’Irminon, IX, n° 467, p. 99) ; Goeni Villa, 1132 (A.D. 28-H, Abbaye Saint-Jean-en-Vallée de Chartres) ; Gouainville, 1544 (A.D. 28-E, Terrier de Saint-Aubin-des-Bois) ; Fief de Goinville, paroisse de Saint Arnoult des Bois, 1605-1725 (A.D. 28-H 4) ; Feu Paul de Laiglehoust, escuier, sieegnur de Goinville et du Petit Coudray, 17 juillet 1625 (A.C. de Courville-sur-Eure-GG 2) ; Jacques de Laiglehoust, sieur de Goinville, avril 1692 (A.D. 28-B 1857) ; Saisie du fief de Goinville, paroisse de Saint Arnoult des Bois, sur Pierre Ramet, novembre 1725 (A.D. 28-B 1417) ; Adjudication par décret de la terre de Goinville, 1726 (A.D. 28-B 1893) ; Fief de Goinville, paroisse de Saint Arnoult des Bois, 1774(A.D. 28-B 1927) ; Goinville, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Goinville, 1830 (Cadastre) ; Goinville, 1959 (Cadastre). Fief.
Goire. n. f. Variante : Gour.
18 Les Goires. Cne d’Ourouer-les-Bourdelins. Le terrouer de la Goyre, 1477 (A.D. 18-19 H, prieuré d’Ourouer-les-Bourdelins) ; Les Goires, 1834 (Cadastre) ; Les Goires, 1945 (Cadastre).
18 Les Goires. Cne de Neuvy-Deux-Clochers. Les Goires, 1518 (A.D. 18-E, seigneurie de Montigny).
18 Les Goires. Cne de Vignoux-sur-Barangeon. Les Goires, 1825 (Cadastre) ; Les Goires, 1963 (Cadastre).
Goisay.
18 Le Goisay. Cne de Thénioux. Les Goisants,XVIIIe s. ; Le Goisan, 1825 (Cadastre) ; Le Goisay, 1946 (Cadastre).
Goise.
18 La Goise. Cne de Saint-Georges-sur-la-Prée. Les Gois, XVIIIe s. (Carte
de Cassini) ; La Goise, 1811 (Cadastre).
Goiselle.
37 Les Goiselles. Cne de Montlouis-sur-Loire. Une pièce de vigne située aux Goizelles, commune de Montlouis, 13 janvier 1818 (acte Bidault-Tours) ; Les Goiselles, commune de Montlouis, joignant du levant un chemin, 17 mai 1861 (acte Scoumanne-Tours) ; Vigne aux Goiselles ou la Pointe Luneau, commune de Montlouis, 22 septembre 1862 (acte Scoumanne-Tours) ; Vigne aux Goizelles, commune de Montlouis, joignant du midi une rotte, 1er et 3 septembre 1864 (acte Scoumanne-Tours) ; Vigne aux Goisilles, dite commune de Montlouis, joignant du levant le chemin de Montaigu, 1er et 3 septembre 1864 (acte Scoumanne-Tours) ; Vigne située aux Goizelles, même commune de Montlouis, 20 et 30 novembre 1864 (acte Scoumanne-Tours) ; Vigne située aux Goiselles, même commune de Montlouis, joignant du couchant le chemin, 25 mai 1866 (acte Scoumanne-Tours) ; Les Goiselles, 1963 (Cadastre).
Goiset. Nom de personne d’origine française.
37 Les Goisets. Cne de Montlouis-sur-Loire. Les Goisets, 1813 (Cadastre).
Goisière. Ancien français goy
= serpe à talon ; nom de personne dès le XIVe s.
45 La Goisière. Cne de Sury-aux-Bois. La Goisière, 1813 (Cadastre)
; La Goisière, 1968 (Cadastre).
Goislardière. Variante : Goulardière.
28 La Goislardière. Cne de Moulhard. La Goislardière, 1837 (Cadastre)
; La Goislardière, 1956 (Cadastre). Guillaume Goislard en était
propriétaire en 1660.
28 La Goislardière. Cne Nouvelle d’Arrou. La Goislardière, 1833 (Cadastre de Langey) ; La Goislardière, 1957 (Cadastre de Langey). Commune de Langey.
28 Les Goislardières. Cne de Lanneray. La Gaulardière, 1417 (A.D.
28-G 907) ; Les Goaslardières, 1525 (A.D. 28-G, chapitre Notre-Dame de
Chartres) ; La Gouaschardière, 1609 (A.D. 28-H, Abbaye Saint-Avit de
Châteaudun) ; La Gouaslardière, 1650 (A.D. 28-H, Abbaye Saint-Avit
de Châteaudun) ; Les Goueslardières, 1686 (A.D. 28-H, Abbaye Saint-Avit
de Châteaudun) ; Les Goislardières, 1811 (Cadastre) ; Les Goislardières,
1937 (Cadastre).
Goisle. Nom de personne d’origine française.
Le féminin sous-entend terre.
37 La Goisle. Cne de Rivarennes. Le fief de la goisle, paroisse de Rivarennes,
valant 70 s., 1639 (B.N.-Fonds Châtre de Cangé, n° 4835, Roolle
des fiefz de Touraine, rolle de Chinon, fol. 81). Fief.
Goislonière. Goislon, nom de personne
d’origine française.
41 La Goislonière. Cne de Savigny-sur-Braye. La Goislonnière,
XVIe s. (A.N.-P 691, n° 100).
Goismière. Goismier, nom de personne
d’origine française.
41 La Goismière. Cne de Chauvigny-du-Perche.
Goisnerie. Goisnier, nom de personne d’origine
française.
41 La Goisnerie. Cne d’Authon Le lieu, aistre et appartenances de la Goynière,
situés en lad. paroisse d’Authon, 5 septembre 1549 (A.N.-P 605,
n° 1) ; La mestairie de la Goisnerie, 1634 (A.N.-P 606).
Goispierre. Variante de guespière, dérivé de guêpe,
d’où nid de guêpes, ou de Guespier, nom de personne d’origine
française
28 La Goispierre. Cne de Boisgasson. Jacques des Personnes, seigneur de la Gouépière, 1572 (A.D. 28-B 532) ; Aveux et reconnaissances à la seigneurie de Courtalain pour le fief de la Goispierre, paroisse de Langey, 1576-1742 (A.D. 28-E 1148) ; Louis des Personnes, seigneur de la Goispierre, 1586 (A.D. 28-E 1148) ; Jacques des Personnes, seigneur de la Goispierre, 1600 (A.D. 28-E 1148) ; Marguerite des Personnes, dame de la Goispierre, 1603 ; René d’Allonville seigneur de la Gouespière, 1614 (A.D. 28-E 1148) ; Jacques d’Allonville, seigneur de la Goispierre, 1642 (A.D. 28-E 1101) ; François d’Allonville, seigneur de la Goispierre, 1665 (A.C. de Saint-Pellerin-GG 5) ; Élisabeth d’Allonville, épouse Jean Baptiste de Bellezaise, dame de la Goispierre, 1700 ; Geneviève de Bellezaise, dame de la Goispierre, 1715 (A.D. 28-E 1148) ; Florent Baillard de la Noue, seigneur de la Goispierre, 1719 (A.D. 28-E 1106) ; Antoine César Gondouin, seigneur de la Goispierre, 1742, 1750 (A.D. 28-E 1148, 1106) ; Pierre Denis Rousseau, seigneur de la Goispierre, 1777 ; La Goispierre, 1833 (Cadastre) ; La Goespierre, 1955 (Cadastre). Fief relevant de Courtalain.
Goistronnière. Variante : Gouatronnière.
Goistron, transcrit gouatron, nom de personne d’origine française.
28 La Goistronnière. Cne d’Yèvres. La Grillonnière,
1332 (A.D. 28-E, Seigneurie de Chantemesle) ; La Gouestronnerie, 1502 (A.D.
28-E, Seigneurie de Chantemesle) ; La Goistronnière, 1636 (A.D. 28-G,
Yèvres) ; La Goistronnière, 1820 (Cadastre) ; La Goistronnière,
1972 (Cadastre). Nicolas Goistron en était propriétaire en 1492.
D’où le changement de nom.
41 La Goistronnière. Cne d’Authon. La Gointronnière, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; La Goitronnière, 1837 (Cadastre) ; La Goistronnière,
1936 (Cadastre).
Goite.
18 La Goite. Cne de Venesmes. La Goïte, 1813 (Cadastre) ; La Goite, 1935
(Cadastre).
Goitron. n. m. Vers 1120. Variante : Goistron.
Latin populaire gutturionem, dérivé du latin classique guttur
= gorge, gossier, sens que le français conserve. Nom de personne dès
le XIVe s.
28 Le Goitron. Cne de Varize. Le Goitron, 1836 (Cadastre).
Goiyetterie. Goiyet, nom de personne d’origine
française.
41 La Petite-Goiyetterie. Cne de Boursay. La Petite Goiyetterie, 1827 (Cadastre)
; La Petite Goiyetterie, 1953 (Cadastre).
Gojard. Variante de Goujard, péjoratif
du moyen français goujat = garçon ; nom de personne dès
le XVe s.
45 Les Gojards. Cne d’Aillant-sur-Milleron. Les Gogearts, XVIIIe s. (Carte
de Cassini) ; Les Gojards, 1831 (Cadastre) ; Les Gojards, 1942 (Cadastre).
Golanchère.
37 La Golanchère. Cne de Nouzilly. Le bordage de la Golanchère,
situé paroisse de Nouzilly, fief de Saint Laurent, 13 novembre 1769 (acte
Thenon-Tours) ; Garachère, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; La Golanchère,
1835 (Cadastre) ; La Golanchère, 1948 (Cadastre).
Goland. Variante : Gouland.
Nom de personne d’origine française.
41 Goland. Cne de Bracieux. Golant, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Goland, 1826
(Cadastre de Tour-en-Sologne) ; Goland, 1947 (Cadastre).
Golandière. Goland, nom de personne
d’origine française.
45 La Golandière. Cne d’Oussoy-en-Gâtinais. La Golandière,
XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; La Golandière, 1811 (Cadastre) ; La Golandière,
1935 (Cadastre).
Golbedier. Nom de personne d’origine
française.
37 Les Golbediers. Cne de Saint-Martin-le-Beau. Les Golbediers, 1810 (Cadastre)
; Les Golbediers, 1958 (Cadastre).
Goldier. Nom de personne d’origine française.
41 Les Goldiers. Cne de Villavard. Les Goldiers, 1826 (Cadastre) ; Les Goldiers,
1957 (Cadastre).
Golerte.
18 Les Golertes. Cne de Groises.
Golf. n. m. 1776. Mot anglais d’origine
écossaise, dont la graphie est attestée en 1451, et l’origine
inconnue. D’abord terme de voyage ; en 1872, sport qui consiste à
faire pénétrer une balle dans des trous au moyen d’une canne,
date de son implantation en France ; en 1901, par métonymie, terrain
où ce sport se pratique, sens repris en toponymie.
28 Le Golf-Parc-de-La-Chaussée-d’Ivry. Cne de La Chaussée-d’Ivry.
Golf Parc de La Chaussée d’Ivry, 1998 (Cadastre).
41 Le Golf-de-Chamloire. Cne de Candé-sur-Beuvron. Golf de Chamloire,
1998 (Cadastre).
45 Le Golf. Cne d’Amilly. Le Golf, 1969 (Cadastre).
Golfe. n. m. Vers 1284. Bas latin culfus, colfus, altération du latin classique colpus, emprunté au grec kolpoV = pli, creux. Golfe est une réfection de golf en 1528, d’après l’italien. La variante goffre se maintint jusqu’au début XVIIe s. ; longtemps concurrencée par gouffre, les 2 mots deviennent définitivement distincts dans leur forme et dans leur sens, en 1680, dans la langue parlée, où golfe = repli de côte, mais restent synonymes en toponymie.
28 Le Golfe. Cne d’Illiers-Combray. Le Golfe, 1826 (Cadastre).
45 Les Golfes. Cne de La Cour-Marigny. Les Golfes, 1811 (Cadastre) ; Les Golfes, 1935 (Cadastre).
45 Le Golfe. Cne de Saint-Martin-d’Abbat. Le Golfe, 1812 (Cadastre) ; Le Golfe, 1963 (Cadastre).
Golgotha. n. m. Grec ancien Γολγοθα, tiré de l'araméen gulgalt ou gulgūltá = crâne-sommet, issu du verbe gdlal = rouler. Vocable dû aux pélerins revenant de Palestine depuis
le Ve s., aux ordres religieux et militaires, et aux seigneurs qui participèrent
aux croisades.
28 Golgotha. Cne de Charonville.
Goletterie. Variante : Golettrie.
Golet, nom de personne d’origine française.
45 Les Goletteries. Cne de Montbouy. Les Goletteries, 1831 (Cadastre) ; Les
Goletteries, 1956 (Cadastre).
Golettrie. Variante : Goletterie.
37 La Golettrie. Cne d’Azay-sur-Cher. Folettrie, XVIIIe s. (Carte de Cassini).
Golinière. Golin, nom de personne d’origine
française.
37 Les Golinières. Cne de Louans.
45 La Golinière. Cne de Poilly-lez-Gien. La Golinière, 1827 (Cadastre)
; La Golinière, 1967 (Cadastre).
Gollainville. Bas latin Waldoleni villa. Waldelenus,
nom de personne d’origine germanique, dont la forme secondaire est Gaudolenus,
et villa = domaine rural. La finale lenus indique un diminutif. Waldolenum,
avec un o bref, aboutit régulièrement à Gaulein, par changement
du w en g dur, de al en au et de dl en l.
45 Gollainville. Cne du Malesherbois. Gauleinvilla, 1291 (A.D. 45-D 601, censier du prieuré de Saint-Samson d’Orléans) ; Golainville, 1761 (A.D. 45-g 2265) ; Gollainville bourg, 1838 (Cadastre d’Orveau-Bellesauve) ; Gollainville, 1953 (Cadastre d’Orveau-Bellesauve). Commune de Gollainville. Réunion réalisée de la commune de Gollainville d’avec celle d’Orveau par Ordonnance Royale du 13 mars 1828 (A.N.-F 2 II Loiret 2, plan annexé à la minute), section C, D, E et F de la commune d’Orveau, puis avec celle de Malesherbes par Arrêté Préfectoral du 30 novembre 2015, sous le nom du Malesherbois. Église Saint-Jean-Baptiste. Civitas Senonum.
Gollery. Gollier, nom de personne d’origine
française. Variante latinisante de gollerie.
18 La Gollery. Cne d’Ids-Saint-Roch. La Gollery, 1812 (Cadastre) ; La
Gollery, 1959 (Cadastre).
Gollier. Nom de personne d’origine française.
41 Le Gollier. Cne de Vievy-le-Rayé. Le Gollier, 1836 (Cadastre) ; Le
Gollier, 1932 (Cadastre).
Gollion. Nom de personne d’origine française.
28 Les Gollions. Cne de Courville-sur-Eure. Les Gollions, 1830 (Cadastre) ;
Les Gollions, 1959 (Cadastre).
Golotte. Golot, ancien français gole
= gueule, au figuré ouverte, et suffixe diminutif ot ; nom de personne
dès le XIVe s. Le féminin sous-entend terre ou correspond à
la transcription phonétique de la prononciation ligérienne de
la finale ot / otte.
45 La Golotte. Cne de Varennes-Changy. La Goulotte, XVIIIe s. (Carte de Cassini)
; La Golotte, 1811 (Cadastre de Varennes-en-Gâtinais) ; La Golotte, 1961
(Cadastre).
Goltière. Variante : Gauthière.
37 La Goltière. Cne de Villebourg. La Goltière, 1834 (Cadastre)
; La Goltière, 1934 (Cadastre).
Goltronière.
28 La Goltronière. Cne de Gohory. La Goltronière, XVIIIe s. (Carte
de Cassini).
Gomas.
45 Gomas. Cne de Chaingy Gomas, XVIIIe s. (Carte de Cassini).
Gombard. Variante de Gombert, gund = combat,
et berht = brillant, célèbre, nom de personne d’origine
germanique. La forme Gombard correspond à la transcription de la phonétique
ligérienne qui prononce le e fermé comme un a ouvert.
37 Le Gombard. Cne de Cheillé. Le Gombard, 1814 (Cadastre) ; Le Gombard,
1959 (Cadastre).
41 Gombart. Cne de Verdes. Gombart, 1836 (Cadastre) ; Gombart, 1936 (Cadastre).
45 Les Gombards. Cne de Gémigny. Les Gombards, 1825 (Cadastre) ; Les
Gombards, 1932 (Cadastre).
Gombarderie. Gombard, nom de personne d’origine
germanique.
37 La Gombarderie. Cne d’Ambillou. Terre, jardin et ouche, dans lequel
jardin étoit autrefois bâty le lieu de la Gombarderie, ditte commune
d’Ambillou, 7 avril 1809 (acte Chaumier-Luynes) ; La Gombarderie, 1828
(Cadastre).
37 La Gombarderie. Cne de Druye. La Gombarderie, 1821 (Cadastre).
45 La Gombarderie. Cne de Bonny-sur-Loire. La Gombarderie, 1836 (Cadastre) ;
La Gombarderie, 1954 (Cadastre).
Gombardière. Gombard, nom de personne
d’origine germanique.
41 La Gombardière. Cne de Mazangé. Terre située à
la Gombardière, 17 juillet 1606 (A.N.-P 615) ; Terre située au
lieu appellé la Gombardière, joignant d’autre costé
à la traitte tendant de la Motte au Moullin à Quaier, 21 avril
1635 (A.N.-P 616) ; La Gombardière, 1811 (Cadastre) ; La Gombardière,
1966 (Cadastre).
41 La Gombardière. Cne de Mont-près-Chambord. La Gombardière,
XVIIIe s. (Carte de Cassini).
Gombaude. Gombault, nom de personne d’origine
germanique. Le féminin sous-entend terre.
41 Les Gombaudes. Cne de Villerable. Les Gombaudes, 1811 (Cadastre) ; Les Gombaudes,
1966 (Cadastre).
Gombauderie. Gombault, nom de personne d’origine
germanique.
37 La Gombauderie. Cne de Tours. Une maison située à la Gouebauderie,
parroisse de Saint Simphorien, 10 nivôse an 2 (acte Guionneau-Tours) ;
La Goubauderie, 1813 (Cadastre de Saint-Symphorien) ; Un corps de bâtiment
à la Gouébauderie, commune de Saint Symphorien, 10 mars 1850 (acte
Duvigneaux-Tours) ; Une petite maison à la Gombauderie, commune de Saint
Symphorien, 20 mai 1850 (acte Duvigneaux-Tours).
Gombaudière. Gombault, nom de personne
d’origine germanique.
37 La Gombaudière. Cne de Mazières-de-Touraine. Une maison sittuée
au lieu et hereau de la Gombaudière, paroisse dud. Mazière, joignant
par le devant au grand chemin tendant de ce bourg à la Bousserie, 28
février 1672 (acte Briault-Mazières de Touraine) ; La Gombaudière,
5 octobre 1697 (acte Bruslon-Langeais) ; La closerye de la Gombaudière,
située paroisse de Mazière, 30 novembre 1732 (acte Pays-Cinq Mars)
; Une chambre à cheminée située à la Gombaudrière,
29 décembre 1739 (acte Pays-Cinq Mars la Pile) ; Le lieu et closerie
de la Gombaudière, situé susd. paroisse de Mazière, 27
mars 1750 (acte Pays-Cinq Mars la Pile) ; Une grange située à
la Gombaudière, fief des Escluzes, 7 septembre 1767 (acte Pays-Cinq Mars
la Pile) ; Le lieu et clozerie de la Gombaudière, scitué ditte
paroisse de Mazières, fief du Breuil, 5 février 1773 (acte Perier-Cinq
Mars la Pile) ; Le lieu et métairie de la Gombaudière, sittuée
ditte paroisse de Mazière, 9 octobre 1774 (acte Perier-Cinq Mars la Pile).
Gombault. Bas latin Gunbaldus, 7 mars 1082 (Cartulaire de Saint-Père-en-Vallée de Chartres). Gund = combat, et bald = audacieux. Nom de personne d’origine germanique.
41 Gombault. Cne de Romorantin-Lanthenay. Vinea sita iuxta presserium Reginaldi
Gonbaut, 1237 (Cartulaire du Lieu Notre-Dame, n° 136-138) ; Le lieu et métairie
de Gombault, assise en lad. parroisse de Lanthenay, 16 avril 1760 (acte Boy-Romorantin
Lanthenay) ; Gombault, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Gombault, 1828
(Cadastre de Lanthenay) ; Gombault, 1959 (Cadastre de Lanthenay) ; Gombault,
1967 (Cadastre).
41 Rue de Gombault. Cne de Romorantin-Lanthenay. Rue de Gombault, 1998 (Cadastre).
45 Les Gombaults. Cne de Château-Renard. Les Gombault, XVIIIe
s. (Carte de Cassini) ; Les Gombaults, 1840 (Cadastre) ; Les Gombaults, 1966
(Cadastre).
45 Les Gombaults. Cne de Melleroy. Gombault, XVIIIe s. (Carte de
Cassini) ; Les Gombaults, 1840 (Cadastre) ; Les Gombaults, 1952 (Cadastre).
Gombellerie. Gombeau, variante de Gombault,
nom de personne d’origine germanique.
41 La Gombellerie. Cne de Mur-de-Sologne. La Gombellerie, XVIIIe s. (Carte de
Cassini).
Gomberge.
37 Les Gomberges. Cne d’Orbigny. Les Gomberges, 1828 (Cadastre) ; Les
Gomberges, 1969 (Cadastre).
Gombergean. Gumberga, nom de femme d’origine
germanique, suivit la déclinaison germanique imparisyllabique a-anae
; le génitif Gumberganae aboutit régulièrement à
Gombergeain, nom étymologique. Il faut sous-entendre Gumberganae villa.
41 Gombergean. Villa Gumbergae, 1060 (Cartulaire blésois de Marmoutier,
charte 106) ; Villa Cumberge, Villa Gumbergena, Villa Gumberzena, XIe et XIIe s. (Cartulaire blésois de Marmoutier, charte 97, 158, 364, 436, 591)
; Ad Villam Gumberge alodium quod tenebat ab ea in fevem Herbertus, XIe s. (Cartulaire
de Vendôme, charte 111) ; Gumbergen, Villa Cumbergia, Gumberjam, XIe s.
(Cartulaire de Vendôme, charte 153, 154) ; Parrochia de Gombergen, Gombergea,
Gombergien, Gombergean, XIIe et XIIIe s. (Cartulaire de Vendôme, charte
230, 302, 314, 317, 423, 454, 469, 503, 504) ; Borellus de Villa Gumberge, 1146-1152
(Cartulaire de Vendôme, charte 535) ; Apud Gomberjam, XIIe s. (Cartulaire
de Vendôme, charte 580) ; La paroisse de Gombergen, 1311 (A.N.-P 973,
fol. 134) ; Gombergean, 1740 (B.M. d’Orléans, Ms 995, fol. 87)
; Gombergen, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Gombergean, 1835 (Cadastre). Délimitation
réalisée par Arrêté Préfectoral du 15 janvier
1951, entre Gombergean et Saint-Cyr-du-Gault. Église Saint-Georges. Pagus
Vindocinensis. Civitas Carnotum.
Gombert. Gund = combat, et berht = grillant,
célèbre, nom de personne d’origine germanique.
37 Le Gombert. Cne de Saint-Ouen-les-Vignes. Le Gombert, 1811 (Cadastre).
37 Les Gomberts. Cne des Essards. Le lieu et closerie des Gomberts, situez parroisse
desd. Essards, 4 octobre 1704 (acte Delaporte-Langeais).
Gomeleau. Nom de personne d’origine
française.
41 Gomeleau. Cne de Rhodon.
Gomelette. Gomeleau, nom de personne d’origine
française. Le féminin sous-entend terre ou correspond à
la transcription phonétique de la prononciation ligérienne de
la finale et / ette.
18 Les Faux-Gomelettes. Cne d’Henrichemont. Les Faux Gomelettes, 1828
(Cadastre).
Gométrie.
18 Les Gométries. Cne de Croisy. Les Gométries, 1835 (Cadastre)
; Les Gométries, 1933 (Cadastre).
Gommeillière.
18 La Gommeillière. Cne de . Le sieur de la Gommeillière, qui
a apartenu à Gilles Carré, 1635 (A.D. 18-B 1062, art.101 , fol.
10 v°). Fief du ressort de la Grosse Tour de Concressault.
Gommerelle. Gommereau, nom de personne d’origine française. Le féminin sous-entend terre ou correspond à la transcription phonétique de la prononciation ligérienne de la finale el / elle.
Gommerelle employé abssolument
37 Les Gommerelles. Cne de Bourgueil. Les Gomerelles, 1830 (Cadastre) ; Les Gomerelles, 15 (Cadastre).
37 Rue des Gommerelles. Cne de Bourgueil. Rue des Gommerelles, 1998 (Cadastre).
Gommerelle précédé d'un ajectif qualificatif
37 Les Grandes-Gommerelles. Cne de Bourgueil. Les Grandes Gommerelles, 1830 (Cadastre) ; Les Grandes Gommerelles, 1953 (Cadastre).
37 Les Petites-Gommerelles. Cne de Bourgueil. Les Petites Gommerelles, 1830 (Cadastre) ; Les Petites Gommerelles, 1953 (Cadastre) ; Les Petites Gommerelles, 1962 (I.G.N.).
37 Rue des Petites-Gommerelles. Cne de Bourgueil. Voie Communale n° 148, 1953 (Cadastre) ; Rue des Petites Gommerelles, 1998 (Cadastre).
Gominerie. Gominier, nom de personne d’origine
française.
45 La Gominerie. Cne de Douchy. La Gominerie, 1840 (Cadastre) ; La Gominerie,
1964 (Cadastre).
Gommerville. Bas latin Gomerii Villa. Gotmarus,
latin Gomerius, nom de personne d’origine germanique, et villa = domaine
rural.
28 Gommerville. Gomariovilla, 690 ; Gommerville, juillet 1387 (A.N.-JJ 131,
n° 37, fol. 21 v°) ; Gommerville, 1672 (A.D. 28-E 257) ; Gommerville, 1740 (B.M. d’Orléans,
Ms 995, fol. 87) ; Gommerville, XVIIIe s. (Carte de Cassini). Réunion
réalisée de Gommerville d’avec Grandville-Gaudreville par
Arrêté Préfectoral du 15 décembre 1972. Église
Saint-Martin. Pagus Carnotensis. Civitas Carnutum. Fusion des communes de Gommerville et d’Orlu dont le chef-lieu reste celui de la commune de Gommerville, par Arrêté Préfectoral du 26 septembre 2015, en application de la loi du 16 mars 2015, avec effet au 1er janvier 2016.
Gommiers. Bas latin Gomarius, nom de personne
d’origine germanique.
28 Gommiers. Cne de Terminiers. Gommier, 1644 (A.D. 28-G, Terminiers) ; Gousniers, hameau, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 244) ; Toussaint Menard, laboureur à Gommier, 1778 (A.D. 28-B 471) ; Gommiers, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Gommiers, 1836 (Cadastre) ; Gommiers, 1954 (Cadastre).
28 Gommiers-Nord. Cne de Terminiers. Gommiers Nord, 1836 (Cadastre).
28 Gommiers-Sud. Cne de Terminiers. Gommiers Sud, 1836 (Cadastre).
36 Gommiers. Cne de Rosnay. Les Gommiers, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Gommiers,
1819 (Cadastre) ; Gommiers, 1938 (Cadastre).
Gomolidum.
37 Gomolidum. Cne de Neuillé-le-Lierre. In pago Turonico, in vicaria
Subnasce [Saunay], super fluvium Bredanna, in locis nuncupatis Gomolido, février
851 (Gallia Christiana, t. XIV, Instrumenta, n° 30, col. 37 ; Dom Housseau,
t. I, n° 74 ; Cartulaire de Cormery, charte 39).
Gomoru. Nom de personne d’origine germanique.
45 Gomoru. Cne d’Auvilliers-en-Gâtinais. Gomorue, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Gomoru, 1826 (Cadastre) ; Gomoru, 1960 (Cadastre).
Gomoterie. Gomot, nom de personne d’origine française.
36 La Gomoterie. Cne de Vatan. La Gomoterie, 1827 (Cadastre) ; La Gomoterie, 1958 (Cadastre).
Gomu. Nom de personne d’origine française.
18 Gomu. Cne de Mornay-sur-Allier. Gaumet, XVIIIe s. ; Gomu, 1836 (Cadastre) ; Gomu, 1847 (B.N.-Ms Français 9844).