Queugne-Quezaudrie


Queugne. n. f. Variante : Requeugne. Variante de coigne, coin et suffixe féminin, sous-entendu terre. Pièce de terre en forme de coin. Le préfixe re est un intensif.
18 La Queugne. Cne d’Épineuil-le-Fleuriel. La Queugne, 1836 (Cadastre) ; La Queugne, 1847 (B.N.-Ms Français 9844) ; La Queugne, 1966 (Cadastre).
18 Les Queugnes. Cne de Bourges. Territorium de la Cuigne, 1308 (A.D. 18-8 G, chapitre de la Sainte-Chapelle de Bourges)  ; Les Queugnes, 1630 (A.D. 18-8 G, chapitre de la Sainte-Chapelle de Bourges) ; Les Queuilles, 1725 (A.D. 18-8 G, chapitre de la Sainte-Chapelle de Bourges) ; Le terroir des Queugnes, paroisse de Saint Pierre le Guillard, 1751 (A.D. 18-8 G, chapitre de la Sainte-Chapelle de Bourges).
18 Les Queugnes. Cne de Trouy.

Queuraille.
18 Les Queurailles. Cne de Marçais. Les Queurailles, 1826 (Cadastre) ; Les Queurailles, 1965 (Cadastre).

Queurut.
36 Le Queurut. Cne de Chaillac. Le Queurut, 1830 (Cadastre).

Queux. n. m. Vers 1100. Latin coquus = cuisinier (Cicéron, Pro Sexto Roscio Amerino oratio, 134), devenu cocus en latin médiéval. Nom de personne dès le XIVe s. En Berry, le pluriel peut représenter une association taisible.
18 Les Queux. Cne de Saint-Martin-d’Auxigny. La Forêt le Roi, canton du Village des Queux, 1668 (A.D. 18-C 784).
28 Queux. Cne d’Unverre. Queux, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Queux, 1819 (Cadastre) ; Queux, 1961 (Cadastre).
36 Les Queux. Cne de Bélâbre. Les Queux, 24 janvier 1818 (A.N.-F 2 II Indre 2, plan annexé à la minute) ; Les Queux, 1819 (A.N.-F 2 II Indre 2, plan annexé à la minute) ; Les Queux, 20 juillet 1822 (A.N.-F 2 II Indre 1, plan).

Quévaudrie. Quevault, variante de caveau ; nom de personne d’origine française.
41 La Quévaudrie. Cne de Renay. La Quévaudrie, 1831 (Cadastre) ; La Quévaudrie, 1933 (Cadastre).

Queverie. Queuvre, nom de lieu pris pour un nom d’homme, d’origine française, et suffixe de possession erie.
37 La Queverie. Cne de Larçay. Une pièce appellée la Queverie, 25 août 1358 (Cartulaire de l’archevêché de Tours, t. 2, p. 17, charte 163).

Queuvre. Variante : Quoeuvre. Bas latin scobrium, peut être une forme secondaire de Scotobriga = Scoto, nom de personne d’origine gauloise, et briga = hauteur fortifiée, château, signifierait : le château fort de Scotus. Le ruisseau qui passe à La Queuvre porte ce nom et celui d’Ousson, affluent du Dhuys, et de Sécheron. Lescuvrium est la forme romane latinisée, avec agglutination de l’article au substantif : L’Escuevre, forme française restituée, prononcée L’Aqueuvre et écrit La Queuvre.
45 La Queuvre. Cne de Férolles. Lescuvrium, 1080 (Recueil des chartes de l’abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire, t. 1, p. 231) ; Les terres de la Queuvre, 1450 (A.D. 45-A 1987) ; La Queuvre, 1740 (B.M. d’Orléans, Ms 995, fol. 111) ; La Queuvres, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; La Queuvre, 1833 (Cadastre) ; La Queuvre, 1934 (Cadastre). Réunion réalisée de La Queuvre d’avec Férolles par Ordonnance Royale du 25 février 1818 (A.N.-F 2 II, Loiret 2, plan annexé à la minute). La section de La Queuvre devient la section A de la nouvelle commune. Fief. Église Saint-Gault. Civitas Aurelianorum.

Quézardière. Quézard, nom de personne d’origine française.
41 La Quézardière. Cne de Seigy. La Quezardière, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; La Quézardière, 1833 (Cadastre) ; La Quézardière, 1936 (Cadastre).

Quezaudrie.
36 Les Quezaudries. Cne de Buxeuil. Les Quezaudries, 1827 (Cadastre) ; Les Quezaudries, 1952 (Cadastre).