Saint


Saint Saëns-Saint Symphorien

Saint Saëns. Variante : Camille Saint-Saëns. Variante de Sidoine. Latin Sidonius = celui qui est originaire de Sidon, devenu Saïda, Liban.
37 Impasse Saint-Saëns. Cne de Tours. Impasse Jolivet ; Impasse Saint Saëns, 3 décembre 1954 (Délibération du Conseil Municipal) ; Impasse Saint Saëns, 1975 (Cadastre). Commune de Saint-Pierre-des-Corps.

Saint Salmon. Sanctus Salomon. Forme contractée de Salomon. Hébreu shalomoh, shalôm = paix, prospérité et oh = sa, sa paix, le pacifique. 3e roi d’Israël et de Juda.

Saint Samson. Sanctus Samson. Hébreu shimshôn, shemesh = soleil, sans doute formé sur Shamash, le dieu soleil akkadien, et suffixe diminutif ôn = petit. Né vers 490, dans la région du Glamorgan, Pays de Galles, fondateur du monastère de Dol en Bretagne, mort vers 565 à Dol. Les Bretons fuyant les Normands importèrent le culte de ce saint ; ses reliques furent déposées en 930 dans le monastère de Saint-Symphorien d’Orléans, qui devint abbaye puis prieuré de Saint-Samson. Acta Sanctorum, juillet, VI, 568. Fête : 28 juillet.
45 Rue de Saint-Samson. Cne d’Olivet. Rue de Saint Samson, 1998 (Cadastre).
45 Rue Saint-Samson. Cne d’Orléans. Une maison sise à Orléans, rue Sainct Sanson, décembre 1358 (A.N.-JJ 86, n° 563, fol. 205).

Saint Santein.
28 Saint-Santein. Cne de Laons. Saint Santein, XVIIIe s. (Carte de Cassini).

Saint Satur. Variante : Sancerre. Sanctus Saturus ou Satyrus. Grec saturos = nom d'un être mythique de la suite du dieu Dyonisos. Fondateur de l’abbaye Saint-Satur, peut-être le frère de saint Ambroise. Fête : 7 novembre.
18 Saint-Satur. In honorem [...] Sancti Satyri, 1035 (Revue Mabillon, 1972, p. 147) ; Burgus Sancti Satyri, 1104 (A.D. 18-13 H, abbaye Saint-Satur) ; Villam Sancti Satyri, 1182 (Actes de Philippe II Auguste, p. 82) ; Sanctus Satyrus, 1229 (La Thaumassière, Les coutumes locales, p. 141) ; Sanctus Satur juxta Sarnum la Seuil, 1233 (Dom Bouquet) ; Sainct Satur sous Sancerre, novembre 1352 (A.N.-JJ 81, n° 478, fol. 235) ; Sainct Satur, février 1384 (A.N.-JJ 124, n° 237, fol. 139) ; Sainct Satur, février 1400 (A.N.-JJ 154, n° 669, fol. 380 v°) ; La ville de Saint Satur, 1436 (A.D. 18-13 H, abbaye Saint-Satur) ; Saint Satur soubs Sanxerre, 1457 (A.D. 18-13 H, abbaye Saint-Satur) ; Sainct Satur, 1470 (A.D. 18-13 H, abbaye Saint-Satur) ; Sainct Satur, février 1474 (A.N.-JJ 195, n° 999, fol. 231) ; Saint Satur, août 1484 (A.N.-JJ 211, n° 637, fol. 140) ; Saint Sateur, ville, abbaye d’hommes, 1567 (Nicolay, Description générale de Berry, p. 59) ; Saint Satur, 14 novembre 1788 (A.D. 18-C 1109, Élection de Bourges) ; Saint Satur, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Thibault la Fontaine, pluviôse an 2 (Délibération du Conseil Général de la Commune, application du décret du 16 octobre 1793 = 25 vendémiaire an 2). Église Saint-Guinefort. Civitas Biturigum.

Saint Saturnin. Variante : Saint Sorlin. Sanctus Saturninus. Latin Saturnus, père de Jupiter, et suffixe diminutif inus. 1er évêque de Toulouse, martyrisé en 257. Fête : 29 novembre.
18 Saint-Saturnin. Cne de Plaimpied-Givaudins. Saint Saturnin, 1453 (A.D. 18-8 G, abbaye de Plaimpied).
18 Saint-Saturnin. Villa de Sancto Saturnino, 1257 (A.D. 18-10 H 133) ; De Sancto Saturnino, XIIIe s. (A.D. 18-1 G 3, Pouillé de Bourges, p. 11, 19) ; La ville de Saint Sornin, 1429 (A.D. 18-10 H, abbaye des Pierres) ; Sainct Sorlin, janvier 1443 (A.N.-JJ 176, n° 171, fol. 116) ; Saint Cernain, 1475 (A.D. 18-10 H, abbaye des Pierres) ; Sainct Cernain, 1475 (A.D. 18-10 H, abbaye des Pierres) ; Sainct Cernain en Berry, mai 1479 (A.N.-JJ 205, n° 199, fol. 108 v°) ; La parroisse de Saint Sornin, 1507 (A.D. 18-10 H, abbaye des Pierres) ; Sainct Saturnin, 1567 (Nicolay, Description générale de Berry, p. 180) ; Saint Saturnin, 8 novembre 1788 (A.D. 18-C 1109, Élection de La Châtre) ; Saint Saturnin, XVIIIe s. (Carte de Cassini). Église Saint-Saturnin. Civitas Biturigum.
28 Saint-Saturnin. Cne de Chartres. Vigne située à Chartres, paroisse Saint Saturnin, fauxbourg Saint Jean, 26 mai 1791 (AD. 28-1 Q 3, P.V 84, n° 652. Biens Nationaux).
36 Rue Saint-Saturnin. Cne de Ceaulmont. Rue Saint Saturnin, 1998 (Cadastre).
36 Saint-Saturnin. Cne de Cléré-du-Bois. La parroiche de Clairé et de Saint Saornin en la chastellenie de Chastillon, 1285 ; Paroisse de Saint Saornin, 1292 ; Sainct Saornin, novembre 1367 (A.N.-JJ 97, n° 459, fol. 118) ; Saint Satrurnin, 1565 ; Saint Saturnin, succursale, chapelle, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Saturnin, 1836 (Cadastre) ; Saint Saturnin, 1963 (Cadastre). Paroisse Notre-Dame, réunie à celle de Cléré-du-Bois, dont elle est la succursale au XVIIIe s. Civitas Biturigum.
37 Cul-de-sac ou ruelle Saint-Saturnin. Cne de Tours. Fermeture du cul de sac sur la rue du Commerce, près la maison de Mr Danel, 6 mars 1810 (Arrêté Municipal) ; Le couloir Saint Saturnin, 18 juin 1837 (acte Faucheux-Vouvray).
37 Saint-Saturnin. Cne d’Yzeures-sur-Creuse. Saint Saturnin, 1811 (Cadastre) ; Saint Saturnin, 1955 (Cadastre).
41 Place Saint-Saturnin. Cne de Blois. Rue Saint Saturnin, 1810 (Cadastre) ; Place Saint Saturnin, 1957 (Cadastre). Son origine est sans doute le petit cimetière qui jouxta le côté Sud de l’église. Faubourg de Vienne.

Saint Saunay. Christianisation possible d’un site antique.
37 Saint-Saunay. Cne de Restigné. Saint Saunay, 1830 (Cadastre) ; Saint Saunay, 1936 (Cadastre) ; Saint Saunay, 1962 (I.G.N.).

Saint Sautin. Sanctus Sanctinus ou Santinus. Saint Saintin, 1er évêque de Meaux, mort vers 350. Acta Sanctorum, octobre, t. V, 585, août, t. VI, 680. Fête.
45 Saint-Sautin. Cne de Saint-Pryvé-Saint-Mesmin. Saint Saintin, XVIIIe s. ; Saint Sautin, 1827 (Cadastre) ; Saint Sautin, 1949 (Cadastre).

Saint Sauveur. n. m. 1140. Bas latin salvator = celui qui sauve, dérivé de salvatum, supin du bas latin salvere = rendre bien portant, guérir. Par sa mort et par sa résurrection, Jésus-Christ est le sauveur du monde.
28 Rue Saint-Sauveur. Cne de Bonneval. Rue Saint Sauveur, 1831 (Cadastre).
28 Saint-Sauveur. Cne de Lutz-en-Dunois. Saint Sauveur, 1811 (Cadastre) ; Saint Sauveur, 1934 (Cadastre).
28 Saint-Sauveur. Cne de Saint-Sauveur-Marville. Sainct Sauveur en Thymerais, juin 1498 (A.N.-JJ 231, n° 58, fol. 29) ; Guillaume Barreau, laboureur à Saint Sauveur, 18 novembre 1629 (A.C. de Tremblay-les-Villages, Chêne-Chenu-GG 24, Villette-les-Bois) ; Saint Sauveur, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Sauveur, 1817 (Cadastre de Levasville-Saint-Sauveur) ; Saint Sauveur Levasville, 17 octobre 1847 (Ordonnance Royale, A.N.-F 2 II Eure-et-Loir 2) ; Saint Sauveur Marville, 4 décembre 1972 (Arrêté du Préfet d’Eure-et-Loir). La collecte de Levasville s’étendait sur 2 paroisses : Saint-Martin de Levasville et Saint-Sauveur ; dénombrée à part sur les rôles des tailles à partir de 1720, et sur les rôles de gabelle dans le grenier de Dreux, alors que Levasville dépendait du grenier de Chartres, la paroisse Saint-Sauveur semble avoir été collecte fiscale indépendante au XVIIIe s. Lors de la formation du département d’Eure-et-Loir, en janvier 1790, les paroisses de Saint-Sauveur et de Levasville furent réunies pour former la commune de Levasville-Saint-Sauveur, Levasville demeurant le chef-lieu de la commune jusqu’au 17 octobre 1847, date à laquelle l’Ordonnance Royale assigna le bourg de Saint-Sauveur à la commune de Saint-Sauveur-Levasville. Réunion réalisée de Marville-les-Bois d’avec Saint-Sauveur-Levasville par Arrêté Préfectoral du 4 décembre 1972, sous le nom de Saint-Sauveur-Marville. Église Saint-Sauveur. Pagus Carnotensis. Civitas Carnutum.
36 Saint-Sauveur. Cne d’Argenton-sur-Creuse. Alter capellanus dicti loci [de Argentonio], 1327 (Pouillé de Bourges, p. 48). Paroisse Saint-Sauveur réunie à celle de Saint-Étienne en 1673. Civitas Biturigum.
37 Ruelle Saint-Sauveur. Cne de Langeais. Ruelle de la Cueille aux Prêtres ou Saint Sauveur : Ruelle Saint Sauveur, 24 novembre 1884 (Délibération du Conseil Municipal).
37 Saint-Sauveur. Cne de Tours. Saint Sauveur, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Sauveur, commune de Beaumont lès Tours, 1er janvier 1823 (Ordonnance Royale, A.N.-F 2 II Indre-et-Loire 2, plan annexé à la minute) ; Saint Sauveur, 1823 (Cadastre de Joué-lès-Tours) ; Une maison située à Saint Sauveur, près le pont de ce nom, commune de Tours, ancienne commune de Saint Etienne Extra, le tout joint du midi l’angle de la route de Saint Sauveur, du levant la route, 2 mai 1864 (acte Scoumanne-Tours) ; Saint Sauveur, commune de Joué lès Tours, Arrêté Préfectoral du 1er juin 1965. Ce nom rappelle le prieuré Saint-Sauveur, de l’ordre de la Trinité et de la Rédemption des Captifs.
41 Saint-Sauveur. Cne d’Autainville. Saint Sauveur, 1829 (Cadastre) ; Saint Sauveur, 1933 (Cadastre).
41 Saint-Sauveur. Cne de Santenay. Saint Sauveur, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Sauveur, 1817 (Cadastre) ; Saint Sauveur, 1933 (Cadastre).
41 Saint-Sauveur. Cne de Tourailles. Saint Sauveur, 1831 (Cadastre) ; Saint Sauveur, 1932 (Cadastre).
45 Rue Saint-Sauveur. Cne d’Orléans. Rappelle l’église Saint-Sauveur.
45 Saint-Sauveur. Cne d’Orléans. Saint Sauveur, 1640 (Plan Fleury). Paroisse Saint-Germain.
45 Saint-Sauveur. Cne de Nibelle. Parrochia Sancti Salvatoris prope Nibellam, 1287 (Recueil des chartes relatives au prieuré de Notre-Dame de Flotin, p. 103) ; Parroisse de Saint Sauveur, 1289 (Recueil des chartes relatives au prieuré de Notre-Dame de Flotin, p. 103) ; Saint Sauveur, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 227) ; Saint Sauveur en Gastinois, 1761 (A.D. 45-g 2265) ; Saint Sauveur, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Sauveur, 1814 (Cadastre) ; Saint Sauveur, 1966 (Cadastre). Réunion réalisée de Saint-Sauveur-en-Gâtinais d’avec Nibelle par Décret impérial du 23 janvier 1813, sous le nom de Nibelle-Saint-Sauveur (A.N.-F 2 II Loiret 2, plan annexé à la minute). Église Saint-Sauveur. Civitas Senonum.

Sainte Scholastique. Sancta Scholastica. Féminin du latin impérial scholasticus = d'école comme adjetif et rhéteur, érudit comme nom. Grec skholastikos = relatif à l'école, dérivé de skholazein = être le disciple ou le maître de. Forme populaire scholastique, forme savante écolâtre. Sœur de saint Benoît, née vers 480, morte vers 543. Acta Sanctorum, février, II, 392. Fête : 10 février.
45 Sainte-Scholastique. Cne de Saint-Benoit-sur-Loire. Sanctae virginis Scolasticae ecclesia, XIe s. (Vie de Gauzlin, p. 299) ; Sainte Scolastique, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Sainte Scholastique, 1830 (Cadastre) ; Sainte Scholastique, 1949 (Cadastre). Le nom s’explique par la chapelle dédiée à sainte Scholastique, connue dès le XIe s., rebâtie en 1873.

Saint Sébastien. Sanctus Sebastianus.  Grec sebastos = vénérable, honoré et suffixe latin ianus pour former les noms. Martyrisé à Rome vers 287. Acta Sanctorum, janvier, II, 257. Fête : 20 janvier.
28 Rue Saint-Sébastien. Cne de Janville. Rue Saint Sébastien, 1839 (Cadastre).
36 Saint-Sébastien. Cne de Déols. Saint Sébastien, XVIIIe s. (Carte de Cassini).
37 Rue Saint-Sébastien. Cne de Marcilly-sur-Maulne. Rue Saint Sébastien, 1934 (Cadastre).
37 Saint-Sébastien. Cne de Marcilly-sur-Maulne. Le lieu et closerie nommée Saint Sébastien, paroisse dud. Marcilly, 15 juin 1791 (A.D. 37-1 Q 153, P.V. 581, cahier 38. Biens Nationaux) ; Saint Sébastien, 1810 (Cadastre) ; Saint Sébastien, 1934 (Cadastre). Bien National.
37 Rue Saint-Sébastien. Cne de Marcilly-sur-Maulne. Rue Saint Sébastien, 1998 (Cadastre).
45 Rue Saint-Sébastien. Cne de Châlette-sur-Loing. Rue Saint Sébastien, 1998 (Cadastre).
45 Saint-Sébastien. Cne de Château-Renard. Saint Sébastien, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Sébastien, 1840 (Cadastre) ; Saint Sébastien, 1966 (Cadastre).

Saint Secondin. Sanctus Secundinus. Latin secundus = qui suit et suffixe inus pour former les noms, composé du participe du verbe sequi = suivre et suffixe undus. Secundus = courant qui descend la barque, qui va dans le même sens ; puis qui vient après, servant alors d'adjectif numéral ordinal à duo = deux. Martyr à Smyrne, IVe s. Acta Sanctorum, juillet, IV, 28. Fête : 15 juillet.
41 Saint-Secondin. Cne de Molineuf. Ès parroisse de Saint Segondin, novembre 1288 (Cartulaire de Blois, charte 5, p. 11) ; Sainct Secondin, décembre 1357 (A.N.-JJ 89, n° 44, fol. 20 v°) ; Saint Secondin, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 228) ; Saint Secondin, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Molineuf, pluviôse an 2 (Délibération du Conseil Général de la Commune, application du décret du 16 octobre 1793 = 25 vendémiaire an 2). Par décret du 23 juin 1913, le chef-lieu de la commune de Saint-Secondin est transféré au hameau de Molineuf, dont la commune prend le nom. Nom primitif de la commune de Molineuf. Église Saint-Secondin. Pagus Blesensis. Civitas Carnutum.

Saint Selommes
41 Rue Saint-Selommes. Cne de Chitenay. La Cocherie, 1813 (Cadastre) ; Rue Saint Selommes, 1998 (Cadastre).

Saint Senoch. Sanctus Senochus ou Enochus. Nom d’origine germanique. La variante enochus suppose le nom hébreu Hénoch = inauguration. Originaire de Tiffauges en Poitou, Senoch se fit moine et bâtit lui-même un monastère, dans un village en ruine où subsistaient un oratoire dans lequel saint Martin avait prié, au Sud de Loches ; élevé au diaconat par l’évêque Euphrone vers 570, Senoch abandonna ses 3 compagnons pour vivre en ermite, et mourut vers 576 (Grégoire de Tours, Histoire des Francs, Liv. V, ch. 7 ; Vitae Patrum, Liv. XV). Acta Sanctorum, octobre, X, 764. Fête : 24 octobre.
36 Saint-Senoch. Cne de Crozon-sur-Vauvre. Saint Senoch, 1835 (Cadastre) ; Saint Senoch, 1966 (Cadastre).
37 Saint-Senoch. Cne de Varennes. Sancto Ceno, 1270 (Dom Housseau, Charte de Notre-Dame de Loches) ; Saint Senoch, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Senoch, 1832 (Cadastre) ; Saint Senoch, 1933 (Cadastre). Le cadastre de 1832 note : église et 3 maisons. Centre primitif de la paroisse de Saint-Senoch, avant son déplacement à Barbeneuve.
37 Saint-Senoch. Barbeneuve, XIIIe s. (Cassini) ; Saint Senoch Barbeneuve, XVIIIe et XIXe s. (Registres paroissiaux et communaux) ; Senoch et Barbeneuve, pluviôse an 2 (Délibération du Conseil Général de la Commune, application du décret du 16 octobre 1793 = 25 vendémiaire an 2) ; Barbeneuve, 1832 (Cadastre) ; Saint Senoch, 1933 (Cadastre). Le bourg de Saint-Senoch avait 3 maisons en 1790 ; Barbeneuve fit office de chef-lieu dès 1793 : la mairie y avait été transférée et l’église du prieuré Sainte-Catherine devint l’église paroissiale, dédiée à Saint-Senoch (A.D. 37-L, District de Loches, 1793). Délimitation réalisée de Varennes d’avec Saint-Senoch par Ordonnance Royale du 8 mars 1832 : Saint-Senoch-Barbeneuve cède à Varennes l’ancien bourg de Saint-Senoch et la moitié de son château, l’autre moitié étant déjà de Varennes (A.N.-F 2 II Indre-et-Loire 1, plan annexé à la minute). Église Saint-Senoch. Civitas Turonum.

Saint Sépulcre. n. m. Vers 980. Variante : Saint Sépulchre. Latin sepulcrum ou sepulchrum = tombe, monument funéraire, dérivé du verbe sepelire = ensevelir. D’abord tombeau de Jésus Christ ; le composé saint sépulcre apparaît vers 1230. Vocable dû aux pèlerins revenant de Palestine depuis le Ve s., aux ordres religieux et militaires, et aux seigneurs qui participèrent aux croisades.
37 Saint-Sépulchre. Cne du Petit-Pressigny. Saint Sépulchre, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Sépulcre, 1813 (Cadastre) ; Saint Sépulcre, 1946 (Cadastre).

Saint Serge. Sanctus Sergius.  Latin Sergius, gentilice romain. Né en Syrie, évêque de Rome en 687, mort en 701. Acta Sanctorum, septembre, III, 425. Fête : 9 septembre.
28 Saint-Serge. Cne de Champseru. Saint Serge, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Terre au terroir de Saint Serge, paroisse de Champseru, 4 mars 1791 (A.D. 28-1 Q 2, P.V. 42 n° 326. Biens Nationaux) ; Saint Serge, 1812 (Cadastre) ; Saint Serge, 1933 (Cadastre).
28 Saint-Serge. Cne de Trizay-Coutretot-Saint-Serge. Sanctus Ciergius, 1355 (B.N.- Ms Latin 10.097 Registre de l’Église de Chartres) ; Saint Cierge, 1399 (A.D. 28-G, chapitre Notre-Dame de Chartres) ; Saint Serge, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Serge, 1811 (Cadastre de Saint-Serge) ; Saint Serge, 1933 (Cadastre). Réunion réalisée de Trizay-au-Perche d’avec Coutretot et de Saint-Serge par Ordonnance Royale du 15 février 1835, sous le nom de Trizay-Coutretot-Saint-Serge, dont le chef-lieu se situe à Trizay (A.N.-F 2 II Eure-et-Loir 2, plan annexé à la minute). Église Saint-Serge. Pagus Carnotensis. Civitas Carnutum.
45 Saint-Serge. Cne de. Cella Sancti Sergii, 9 juin 979 (Actes de Louis V, n° 69, p. 170). Louis V confirme la propriété du chapitre Sainte-Croix d’Orléans.

Saint Servais. Sanctus Servatius. Latin servus = esclave, homme et chose soumis à une servitude, puis condition juridique de cette servitude, et suffixe atius pour former les noms. Évêque de Tongres, Belgique, mort en 384. Acta Sanctorum, mai, t. III, 208. Fête : 13 mai.
28 Saint-Servais. Cne de Croisilles. Saint Servais, XVIIIe s. (Carte de Cassini).
28 Saint-Servais. Cne de Dreux. Sanctus Gervasius, vers 1272 (Pouillé de Sens, p.). Saint Servais, château de Dreux.

Saint Servan. Sanctus Servanus. Écossais, apôtre de West Fife, évêque abbé de Culross, mort et enterré à Culross, VIIe s. Acta Sanctorum, juillet, I, 50. Fête : 1er juillet.
37 Impasse Saint-Servan. Cne d’Auzouer-en-Touraine. Saint Servan, 1835 (Cadastre) ; Saint Servan, 1934 (Cadastre) ; Impasse Saint Servan, 1998 (Cadastre).
37 Saint-Servan. Cne d’Auzouer-en-Touraine. Saint Servan, 1835 (Cadastre) ; Saint Servan, 1934 (Cadastre).

Sainte Sévère. Sancta Severa.  Latin severus = austère, grave, sérieux. Gentilice latin Severus = inflexible. Sévère est masculin et féminin en français. Le féminin du gentilice latin s'explique mal. Vierge du pays de Trèves, sœur de saint Modoald, évêque de Trèves, 1re abbesse du couvent de Sainte-Gemme, actuel Sainte-Sévère, morte en 660. Acta Sanctorum, juillet, V, 79. Fête : 20 juillet.
36 Sainte-Sévère-sur-Indre. Helias de Sancta Severa, 1090 ; Elias de Sancta Severa, vers 1130 (Cartulaire de Saint-Sulpice de Bourges, charte 89, p. 184) ; Gaufridus de Sancta Severa, 1162 (Cartulaire de Saint-Sulpice de Bourges, supplément X, p. 272, XI, p. 274) ; Helias de Sancta Severa, vers 1170 (Cartulaire de Saint-Sulpice de Bourges, charte 104, p. 196) ; Syphia uxor Roberti de Sancta Severa, 1193 (Cartulaire de Saint-Sulpice de Bourges, charte 121, p. 217) ; Saincte Sévère, mars 1404 (A.N.-JJ 158, n° 336, fol. 184) ; Saincte Sevère, juillet 1489 (A.N.-JJ 225, n° 800, fol. 170) ; La dicte ville de Saincte Sévère est du ressort d’Yssouldun, 1567 (Nicolay, Description générale de Berry, p. 183) ; Le sieur d’une maison, cens et rentes mouvant de Saincte Sévère, qui a apartenu à Pierre Robins, 1635 (A.D. 18-B 1061, art. 544, fol. 64 v°) ; Sainte Sevère, 8 novembre 1788 (A.D. 18-C 1109, Élection de La Châtre) ; Sainte Sevère, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Indre Source, pluviôse an 2 (Délibération du Conseil Général de la Commune, application du décret du 16 octobre 1793 = 25 vendémiaire an 2) ; Commune d’Indre Source, 20 prairial an 2 (A.N.-F20/291, fol. 147) ; Saint Sévère, 9 fructidor an 9 (application de la loi du 8 pluviôse an 9). Sainte-Sévère-sur-Indre possédait 2 paroisses : Saint-Martin et Sainte-Sévère, réunies sous le nom de Sainte-Sévère par ordonnance de 1691 de l’archevêque de Bourges. Réunion réalisée de Rongères d’avec Sainte-Sévère-sur-Indre, par Ordonnance Royale du 17 décembre 1828 (A.N.-F2 II Indre 2) ; les sections A et B deviennent celles de D et de E de la nouvelle commune. La forme Saint-Sévère correspond à la prononciation indigène. Église Saint-Sévère. Civitas Biturigum.

Saint Séverin. Variante : Saint Servin, Saint Sevrin. Sanctus Severinus. Latin Severinus, Severus et suffixe diminutif inus. Servin s’explique par métathèse. Né vers 430, abbé d’Agaune en Valais, depuis Saint Maurice dans le Valais suisse, mort à Château-Landon vers 507. Acta Sanctorum, février, II, Fête : 11 février.
28 Rue Saint-Séverin. Cne de Cloyes-les-Trois-Rivières. Saint Séverin, 1833 (Cadastre de Cloyes-sur-le-Loir) ; Rue Saint Séverin, 1963 (Cadastre de Cloyes-sur-le-Loir) ; Rue Saint Séverin, 5 décembre 1992 et 25 juillet 1994 (Délibération du Conseil Municipal de Cloyes-sur-le-Loir). Commune de Cloyes-sur-le-Loir.
28 Saint-Séverin. Cne de. Cloyes-les-Trois-Rivières, Saint Séverin, 1833 (Cadastre de Cloyes-sur-le-Loir) ; Saint Séverin, 1963 (Cadastre de Cloyes-sur-le-Loir). Commune de Cloyes-sur-le-Loir. Le cadastre de 1963 note : cimetière.
45 Impasse Saint-Séverin. Cne de Corquilleroy. Impasse Saint Séverin, 1998 (Cadastre).
45 Rue Saint-Séverin. Cne de Corquilleroy. Rue Saint Séverin, 1998 (Cadastre).
45 Saint-Séverin. Cne de Dordives. Saint Séverin, hameau, 1832 (Cadastre) ; Saint Séverin, 1964 (Cadastre).
45 Saint-Séverin. Cne de Ferrières. Saint Séverin, 1832 (Cadastre) ; Saint Séverin, 1952 (Cadastre).

Saint Sigismond. Sanctus Sigismundus. Germanique sig = victoire et mund = protection. Roi des Burgondes en 516 ; le puits dans lequel Clodomir, roi d’Orléans, fit jeter en 523 son prisonnier Sigismond, avec sa femme et ses enfants, se trouvait sur le territoire du Vicus Columna = communne de Saint-Péravy-la-Colombe ; il devint l’objet de la vénération des fidèles qui, dès le IXe s., fut appelé Puteus Sancti Sigismundi, origine de la paroisse Saint-Sigismond, que les indigènes appelaient Saint-Simon au XVIIIe s. Grégoire de Tours, Histoire des Francs, Livre III, ch. 5 et 6. Acta Sanctorum, mai, I, 83. Fête : 1er mai.
45 Saint-Sigismond. Puteus Sancti Sigismundi, 840-843, 938, 990 (Cartulaire de Sainte-Croix d’Orléans, p. 39, 65, 520) ; Puteus Sancti Sigismundi, 954-972 (Actes de Lothaire, n° 33, p. 81) ; Puteus Sancti Sigismundi, 9 juin 979 (Actes de Louis V, n° 69, p. 170) ; Puteus Sancti Sigismundi, novembre 990 (Cartulaire de Sainte-Croix d’Orléans, charte 39, p. 80) ; De Sancto Sigismundo, XIe s. (A.D. 45-G 47 supplément, Sainte-Chapelle de Châteaudun) ; Hermenjardis, soror defucti Garnerii militis de Sancto Sigismundo, 1209 (Cartulaire de Beaugency, charte 121, p. 141) ; Sainct Sigismond, mars 1307 (A.N.-JJ 40, fol. 59, n° 117) ; Sainct Sigismond, 24 juillet 1376 (A.N.-JJ 109, n° 245, fol. 116) ; Saint Scismond en Beausse, 1464 (A.D. 45-H, prieuré de la Madeleine-lez-Orléans) ; Sainct Sigismond en Beauce, avril 1476 (A.N.-JJ 195, n° 1566, fol. 382 v°) ; Villaige de Saint Simon, 1498 (A.D. 45-E, seigneurie de Montpipeau) ; Saint Sigismond, 1536 ; Saint Simon, 1641 (A.D. 45-D 574) ; Saint Cismond, 1646 (A.D. 45-A 1064) ; Saint Sigismond, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 228) ; Saint Sigismond, vulgo Saint Simon, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Sigismont, 1768 (A.D. 45-P 1775) ; Sigismond, pluviôse an 2 (Délibération du Conseil Général de la Commune, application du décret du 16 octobre 1793 = 25 vendémiaire an 2). Par Décret du 11 avril 1950, la ferme de l’Ardillière est détachée de Saint-Sigismond et rattachée à Tournoisis, soit 79 ha. D’après Grégoire de Tours, le puits se situait sur Columna = Saint-Péravy-la-Colombe ; Saint Sigismond est donc un démembrement de ce vicus, sans doute fin IXe s. Église Saint-Sigismond. Civitas Aurelianorum.

Saint Silvain. Variante : Saint Sylvain. Sanctus Silvanus. Silas ou Silvain, forme grecque de l’hébreu Saül. Latin silvanus, nom du dieu des forêts, et surnom donné au dieu Mars ; divinité des forêts dans la mythologie latine. Anachorète sur le territoire de Saint-Pierre-sur-Evre, Mayenne, diocèse du Mans, évangélisateur du Berry, Ve s. Ata Sanctorum, septembre, VI, 404. Fête : 22 septembre.
18 Saint-Silvain. Cne de La Celle. Apud Saint Soyn, id est Sanctus Silvanus, 1431 (A.D. 18-250 G, Saint-Pierre-les-Étieux) ; Sainct Silvyn, 1562 (A.D. 18-8 H, abbaye de Noirlac) ; Le villaige de la Chapelle de Saint Silvin, 1512 (A.D. 18-8 H, abbaye de Noirlac) ; La mestairie de Saint Silvain, 1600 (A.D. 18-8 G, chapitre de la Sainte-Chapelle de Bourges) ; Saint Silven, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Sylvain, 1826 (Cadastre) ; Saint Sylvain, 1847 (B.N.-Ms Français 9844) ; Saint Sylvain, 1932 (Cadastre).
36 Rue de-Saint-Silvain. Cne de Bélâbre. Rue de Saint Silvain, 1833 (Cadastre).

Saint Simon. Sanctus Simon. Grec Simôn, transcription de l'hebreu shime’ôn = qui a entendu (Genèse 29/33. Apôtre. Acta Sanctorum, octobre, t. XII, 421. Fête : 28 octobre.
28 Saint-Simon. Cne de Baignolet. N. Lambert de Cambray, seigneur de Saint Simon, dépendant de la baronnie d’Auffains, 1658 (A.D. 28-G 1457) ; Saint Simon, 1835 (Cadastre) ; Saint Simon, 1835 (Cadastre). Fief relevant de la baronnie d’Auffains.

Saint Simon. Claude Henri de Rouvroy, comte de Saint-Simon.
28 Rue de Saint-Simon. Cne de Chartres. Rue de Saint Simon, février 1975 et novembre 1979 (Cadastre).

Saint Simple. Sanctus Simplicius. Latin simplex, icem = plié une fois, formé d'un élément, seul, isolé, et suffxe icius pour former les noms. Acta Santorum, juillet, VII, 34. Martyr à Rome, sous Dioclétien, vers 305. Fête : 29 juillet.

Saint Soing.
36 Saint-Soing. Cne de Saint-Georges-sur-Arnon. Inventaire et partage des biens de feu Pierre Baraton, seigneur de Saint Soing, 16 février 1653 (A.D. 36-2 B 506) ; Saint Soing, 1838 (Cadastre) ; Saint Soing, 1935 (Cadastre).

Sainte Solange. Latin médiéval Sancta Solemnia. Latin classique sollemnis, composé de sollus = seul et d’annus = année, qui revient chaque année (Cicéron, Pro Annio Milone, 73), adjectif de la langue religieuse qui indique une fête, une cérémonie qui se célèbre à date fixe, avec faste, dont l’origine reste à trouver. Latin médiéval solemnia = solennelle, neutre pluriel de solemnis pris pour un féminin singulier en latin et en français. Née à Villemont, commune de Sainte-Solange, vierge et martyre, décapitée à Sainte-Solange en 878 ; placé dans la paroisse Saint-Martin de Crosse, au lieudit de son martyre, son tombeau devint un lieu de pèlerinage et le siège d’une nouvelle paroisse = lieu de culte permanent au Xe s. Acta Sanctorum, mai, II, 588. Fête : 10 mai. Synonyme : solenne.
18 Rue Sainte-Solange. Cne d’Aubigny-sur-Nère. Impasse du Cul d’Ouasse, 1837 (Cadastre d’Aubigny-Ville) ; Rue Sainte Solange, 1958 (Cadastre). Commune d’Aubigny-Ville.
18 Sainte-Solange. Cne de Saint-Germain-des-Bois. Sainte Solange, 1827 (Cadastre) ; Sainte Solange, 1847 (B.N.-Ms Français 9846) ; Sainte Solange, 1933 (Cadastre).
18 Sainte-Solange. Cne de Saint-Michel-de-Volangis. Le terroir de Sainte Solange, 1700 (A.D. 18-39 H, abbaye Saint-Laurent de Bourges).
18 Sainte-Solange. Parrochia de Sancta Solangia, 1128 (A.D. 18-1 G, archevêché de Bourges) ; Villa et parrochia Sanctae Solungiae, 1159 (A.D. 18-8 G, chapitre du Château-lès-Bourges) ; Et apud Sanctam Selongiam quatuor censuales solidi, vers 1190 (Cartulaire de Saint-Sulpice de Bourges, charte 71, p. 149) ; Sancta Solengia, 1198 (A.D. 18-1 G 1, p. 366) ; Sanctam Sulongam, 1206 (Recueil des actes de Philippe II Auguste, t. 2, p. 520) ; Apud Sanctam Solungiam, mai 1216 (A.D. 18-14 G 2, testament d’Eudes Trousseau) ; Parrochia de Sancta Solongia, 1222 (A.D. 18-12 H, abbaye Saint-Ambroix de Bourges) ; Parrochia de Sancta Sollengia, 1249 (A.D. 18-8 G 1051) ; Sancta Sollemgia, 1249 (A.D. 18-14 G, chapitre Saint-Ursin de Bourges) ; Parrochia de Sancta Solingia, 1270 (A.D. 18-5 G, chapitre de Montermoyen) ; Sancta Solengia, 1312 (A.D. 18-1 G 1, p. 366) ; Saincte Solange, septembre 1354 (A.N.-JJ 82, n° 423, fol. 290) ; Sainte Soulange, 1380 (A.D. 18-C 811) ; Saincte Solange, 1397 (A.N.-P 133, fol. 4 v°) ; Saincte Solange, 1417 (A.D. 18-7 G, chapitre Saint-Pierre-le-Puellier de Bourges) ; La parroisse de Saincte Soulange, 1472 (A.D. 18-39 H, abbaye Saint-Laurent de Bourges) ; Sainte Soullange, 1478 (A.D. 18-39 H, abbaye Saint-Laurent de Bourges) ; Saincte Sollange, juillet 1487 (A.N.-JJ 225, n° 387, fol. 86) ; La paroisse de Sainte Solange, 1491 (A.D. 18-39 H, abbaye Saint-Laurent de Bourges) ; Saincte Sollenge, 1509 (A.D. 18-7 G, chapitre Saint-Pierre-le-Puellier de Bourges) ; Saincte Sollange, 1514 (A.D. 18-8 G, chapitre Saint-Étienne de Bourges) ; Sainte Solange, 1567 (Nicolay, Description générale de Berry, p. 59) ; Parrochia Sanctae Soulengiae, 1572 (A.D. 18-7 G, chapitre Saint-Pierre-le-Puellier de Bourges) ; Sainte Solange, 14 novembre 1788 (A.D. 18-C 1109, Élection de Bourges) ; Sainte Solange en Septaine, XVIIIe s. (Carte de Cassini). Acta Sanctorum, mai, II, 588, vie de sainte Solange, suppose que la paroisse de Sainte-Solange est un démembrement de celle de Crosses, début Xe s. ; donc que Nohant-en-Goût et Savigny-en-Septaine sont sans paroisse, vers 878. Église Sainte-Solange. Civitas Biturigum.
45 Sainte-Solange. Cne de Pierrefitte-ès-Bois. Sainte Solange, 1824 (Cadastre) ; Sainte Solange, 1957 (Cadastre).

Saint Solenne. Sanctus Solemnis. Masculin singulier de solemnia = solange. 14e évêque de Chartes, vers 495, mort vers 511. Acta Sanctorum, septembre, t. VII, 57. Fête : 25 septembre. Synonyme : solange.
37 Saint-Solenne. Cne de Luynes. Tombeau de saint Solenne connu par Grégoire de Tours (De Gloria Confessorum, ch. 15).

Saint Sorent.
37 Saint-Sorent. Cne d’Esves-le-Moutier.

Saint Sorlin. Variante : Saint Saturnin.
45 Saint-Sorlin. Cne de Dammarie-sur-Loing. Saint Sorlain, 1831 (Cadastre) ; Saint Sorlin, 1940 (Cadastre).

Saint Sulpice. Sanctus Sulpicius. Gentilice romain. Sulpicium aboutit régulièrement à Souplet, le u accentué diphtonguant ; Sulpice est la forme savante. Sulpice le Sévère, évêque de Bourges, en 584, mort en 591, originaire du Berry, il se consacra à la conversion des Juifs de son diocèse ; ou Sulpice le Pieux ou le Débonnaire, évêque de Bourges, 624-647, dont saint Éloi propagea le culte. Acta Sanctorum, janvier, II, 165, 967. Sulpice le Sévère, fête : 29 janvier. Sulpice le pieux, fête : 17 janvier.

Saint-Sulpice employé absolument

18 Boulevard Saint-Sulpice. Cne de Bourges. Rempart des Pauvres, 1814 (Cadastre) ; Boulevard Saint Sulpice, de la Porte Saint Ambroix à la Porte Saint Sulpice, 23 décembre 1846 (Délibération du Conseil Municipal).
18 Rue de Saint-Sulpice. Cne de Bourges. Rue Saint Sulpice, parroisse de Saint Medard, 7 octobre 1677 (acte Deperey-Bourges) ; Grande Rue de Sainct Sulpice, parroisse de Saint Mesdard, 25 octobre 1677 (acte Deperey-Bourges) ; Rue Saint Sulpice, paroisse de Saint Médard, 1786 (A.D. 18-68 G 1).
18 Saint-Sulpice. Cne de Bourges. Sainct Sulpice lez Bourges, octobre 1451 (A.N.-JJ 185, n° 221, fol. 161 v°). Confirmation des privilèges donnés en 1168 à l’abbaye Saint-Sulpice hors les murs de Bourges par lesquels sont confirmés ses droits de justice, notamment sur son bourg, octobre 1455 (A.N.-JJ 187, n° 139, fol. 72). Faubourg de la ville de Bourges.
18 Saint-Sulpice. Cne de La Chapelle-Montlinard. Ecclesia Sancti Sulpicii juxta Pontem Ligeris, 1107, 1144 ; Saint Sulpice, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; La Chapelle Saint Sulpice, 18 germinal an 7 (A.D. 18-Q, Biens Nationaux) ; Saint Sulpice, 1829 (Cadastre) ; Saint Sulpice, 1958 (Cadastre). Bien National. Cassini note : chapelle.
18 Saint-Sulpice. Cne de Saint-Doulchard. Saint Sulpice, 1957 (Cadastre).
18 Saint-Sulpice. Cne de Sancoins. Saint Sulpice, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Sulpice, 1837 (Cadastre) ; Saint Sulpice, 1847 (B.N.-Ms Français 9846) ; Saint Sulpice, 1963  (Cadastre).
18 Saint-Sulpice. Cne des Aix-d’Angillon. Saint Sulpice, 1610 (A.D. 18-4 H, abbaye Saint-Sulpice de Bourges).
36 Rue Saint-Sulpice. Cne de Vatan. Rue Saint Sulpice, 30 décembre 1771 (A.C. de Vatan, plan de Vastan) ; Rue Saint Sulpice, 1827 (Cadastre). Le nom de cette rue rappelle la chapelle Saint-Sulpice.
36 Saint-Sulpice. Cne de Neuillay-les-Bois. Saint Sulpice, XVIIIe s. (Carte de Cassini).
36 Saint-Sulpice. Cne de Vatan. Saint Sulpice, 30 décembre 1771 (A.C. de Vatan, plan de Vastan).
36 Saint-Sulpice. Cne de Vendœuvres. Saint Sulpice, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Sulpice, 28 janvier 1818 (A.N.-F 2 II Indre 1, plan annexé à la minute).
37 Saint-Sulpice. Cne de Chambourg-sur-Indre. Saint Sulpice, 1826 (Cadastre) ; Saint Sulpice, 1934 (Cadastre).
45 Rue Saint-Sulpice. Cne d’Audeville. Le Bourg, 1953 (Cadastre) ; Rue Saint Sulpice, 1998 (Cadastre).
45 Saint-Sulpice. Cne de Bricy. Saint Sulpice, 1828 (Cadastre).
45 Saint-Sulpice. Cne de Gy-les-Nonnains. Saint Sulpice, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Sulpice, 1836 (Cadastre) ; Saint Sulpice, 1935 (Cadastre).
45 Saint-Sulpice. Cne de La Neuville-sur-Essonne. Saint Sulpice, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Sulpice, 1836 (Cadastre) ; Saint Sulpice, 1935 (Cadastre).
45 Saint-Sulpice. Cne de Lorris. Saint Sulpice, XVIIIe s. (Carte de Cassini). Cassini note : chapelle.

Saint-Sulpice suivi d’un nom de lieu

Guéret.
28 Saint-Sulpice-des-Guérets. Cne de Briconville. Sanctus Sulpicius de Gueretz, vers 1272 (Pouillé de Sens, p.) ; Saint Supplice des Gueretz, 1366 (A.D. 28-G 907). Paroisse réunie à celle de Briconville avant le XVe s. Pagus Carnotensis. Civitas Carnutum.

Haye.
28 Saint-Sulpice-de-la-Haye. Cne de Saint-Lubin-de-la-Haye. Saint Supples de la Haye, 1595 (A.D. 28-E, Terrier de Berchères-sur-Vesgre) ; Saint Supplice, 1602 (A.D. 28-E, Terrier de Berchères-sur-Vesgre) ; Saint Sulpice de la Haye, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Sulpice, 1834 (Cadastre) ; Saint Sulpice, 1964 (Cadastre). Les paroisses religieuses de Saint-Lubin et de Saint-Sulpice de la Haye formaient une paroisse fiscale, origine de la commune de Saint-Lubin-de-la-Haye, réunies en l’an 2 pour former la commune de Saint-Lubin-de-la-Haye. Église Saint-Sulpice. Pagus Pissiacensis. Civitas Carnutum.

Pommeray.
41 Saint-Sulpice-de-Pommeray. Gaufridus de Pomereio, 7 juin 1196 (Cartulaire de Blois, charte 10, p. 57) ; Ès parroisse de Pommeroy, novembre 1288 (Cartulaire de Blois, charte 5, p. 11) ; Une maison en Saint Sulpice, 1334 (B.M. de Vendôme-Ms 285, fol. 12) ; Pomereyum, 1351 (Pouillé de Sens, p. 167) ; Sainct Sulpice, juillet 1418 (A.N.-JJ 171, n° 34, fol. 22) ; Saint Sulpice, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 228) ; Saint Sulpice, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Suplice [Sulpice], pluviôse an 2 (Délibération du Conseil Général de la Commune, application du décret du 16 octobre 1793 = 25 vendémiaire an 2) ; Saint Sulpice de Pommeray, décret du 10 avril 2002. Délimitation réalisée par Arrêté du Préfet du 12 novembre 1948 entre les communes de Blois, Molineuf et Saint-Sulpice, avec conservation de surface. Église Saint-Sulpice. Pagus Blesensis. Civitas Carnutum.

Roquemeure.
41 Saint-Sulpice-de-Roquemeure. Cne des Hayes.

Saint Sylvain. Variante : Saint Silvain. Sanctus Sylvanus. Fils de sainte Félicité, martyrisé à Rome vers 160, avec sa mère et ses 6 frères. Acta Sanctorum, II, 7. Fête : 5 mai.
18 Le Saint-Sylvain. Cne de Genouilly. Le Saint Sylvain, 1811 (Cadastre) ; Le Saint Sylvain, 1953 (Cadastre).
18 Saint-Sylvain. Cne de Trouy. Saint Sylvain, 1812 (Cadastre) ; Saint Sylvain, 1978 (Cadastre).

Saint Sylvestre. Sanctus Silvestris.  Latin silvestris = couvert de forêt, qui vit dans la forêt, sauvage en parlant de la faune et de la flore. Évêque de Rome, de 314 à 335. Acta Sanctorum ont 8 saints. Fête : 31 décembre.

Saint Symphorien. Sanctus Symphorianus. Grec symphoros = accompagné, sun = avec et phorein = porter, et suffixe latin anus pour former mes noms de personne. Martyr, né et mort à Autun, vers 179. Acta Sanctorum, août, V, 491. Fête : 22 août.

Saint Symphorien employé absolument

18 Saint-Symphorien. Cne de Mehun-sur-Yèvre. Saint Symphorien, paroisse de ; Saint Symphorien, 1808 (Cadastre).
18 Saint-Symphorien. Cne de Vesdun. Saint Symphorien, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Symphorien, 1835 (Cadastre).
18 Saint-Symphorien. Sanctus Simphorianus, 1202 (A.D. 18-8 H 67) ; Saint Symphorian, 1463 (A.D. 18-39 H, abbaye Saint-Laurent de Bourges) ; Saint Cyphorien, 1491 (A.D. 18-8 G, chapitre du Château-lès-Bourges) ; La parroisse de Sainct Simphorien près Chasteauneuf, 1501 (A.D. 18-4 H, abbaye Saint-Sulpice de Bourges) ; La parroisse de Sainct Siphoriain, 1503 (A.D. 18-8 G, chapitre du Château-lès-Bourges) ; Saint Siphorien, 1506 (A.D. 18-4 H, abbaye Saint-Sulpice de Bourges) ; Sainct Souffriant, 1506 (A.D. 18-40 H, abbaye de Charenton-du-Cher) ; Sainct Cyphorien, 1516 (A.D. 18-39 H, abbaye Saint-Laurent de Bourges) ; La parroisse de Sainct Cyphoriain, 1520 (A.D. 18-39 H, abbaye Saint-Laurent de Bourges) ; Sainct Siphorien, 1536 (A.D. 18-4 H, abbaye Saint-Sulpice de Bourges) ; Saint Sifourien, 1545 (A.D. 18-8 H, abbaye de Noirlac) ; La parroisse de Sainct Cyphorien, 1551 (A.D. 18-4 H, abbaye Saint-Sulpice de Bourges) ; La parroisse de Sainct Simphorien, ressortissant au siège royal de Dun le Roy, 1567 (Nicolay, Description générale de Berry, p. 86) ; La parroisse de Sainct Symphorien, 1567 (Nicolay, Description générale de Berry, p. 186) ; Sainct Simphorien en Bourbonnois hors Crezançay [élection de Saint-Amand], 1569 (Nicolay, Description générale du Bourbonnais, p. 129) ; La parroisse de Sainct Scifforien, 1572 (A.D. 18-39 H, abbaye Saint-Laurent de Bourges) ; La parroisse de Sainct Syphorian, 1577 (A.D. 18-39 H, abbaye Saint-Laurent de Bourges) ; La paroisse de Saint Simphorian, 12 janvier 1610 (La Thaumassière, Coutumes locales, p. 174) ; Saint Simphorien, 1660 (A.D. 18-39 H, abbaye Saint-Laurent de Bourges) ; Saint Symphorien, autrement l’Abboué, 1717 (A.D. 18-39 H, abbaye Saint-Laurent de Bourges) ; Saint Symphorien le Fromenteau, XVIIIe s. (A.D. 18-4 H, abbaye Saint-Sulpice de Bourges) ; Saint Symphorien, 30 octobre 1788 (A.D. 18-C 1109, Élection d’Issoudun) ; Saint Symphorien, XVIIIe s. (Carte de Cassini). Commune réunie à celle de Saint-Julien-le-Pauvre, en janvier 1790, section C du cadastre de 1813, sous le nom de Saint-Symphorien. Église Saint-Symphorien. Civitas Biturigum.
28 Saint-Symphorien. Cne de Sainte-Gemme-Moronval. Saint Siphorien, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Symphorien, 1829 (Cadastre) ; Saint Symphorien, 1960 (Cadastre). Saint Symphorien est le nom du bourg primitif de la paroisse et le patron de l’église paroissiale. Le bourg se déplaça à Sainte-Gemme et la commune en prit le nom. La carte de Cassini distingue les 3 lieudits : Saint-Symphorien, Moronval et Sainte-Gemme.
36 Saint-Symphorien. Cne de Guilly. Saint Symphorien, XVIIIe s. (Carte de Cassini).
36 Saint-Symphorien. Cne de Montgivray. Saint Symphorien, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Le domaine de Saint Symphorien, 15 juin 1791 (AD. 36-2 Q. Biens Nationaux) ; Saint Symphorien, 1841 (Cadastre).
37 Saint-Symphorien. Cne de Tours. Ecclesia Sancti Symphoriani super Ligeris alveum, 852 (Actes de Charles II le Chauve, p. 388) ; In Parochai Sancti Simphoriani de Ponte, 1247 (A.N.-JJ 274, Querimoniae Turonum, n° 96) ; Pons Turonensis, 1290 (Pouillé de Tours, p. 8) ; Une auberge au Pont de Tours, septembre 1398 (A.N.-JJ 153, n° 439, fol. 295 v°) ; Paroisse du Pont de Tours, Saint Symphorien du ou des Ponts de Tours, XIVe, XVe s. ; Aux Ponts de Tours, octobre 1472 (A.N.-JJ 197, n° 357, fol. 191) ; Sainct Symphorien près de Tours, mars 1500 (A.N.-JJ 233, n° 244, fol. 118) ; Saint Symphorien des Ponts de Tours, XVIe-XVIIIe s. ; Saint Simphorien, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; La Réunion du Nord, pluviôse an 2 (Délibération du Conseil Général de la Commune, application du décret du 16 octobre 1793 = 25 vendémiaire an 2) ; Saint Symphorien Extra, 1813 (Cadastre de Saint-Symphorien). Paroisse, puis commune formée en 1790 à partir de la collecte de Saint-Symphorien, hors les murs de Tours. Par Procès-verbal de délimitation et Arrêté Préfectoral du 21 germinal an 9, Saint-Symphorien céda à Sainte-Radegonde-en-Touraine 19 ha et reçut 86 ha en échange, sans habitation. Délimitation réalisée de Saint-Symphorien d’avec Sainte-Radegonde-en-Touraine, 1808 (A.N.-F 2 II Indre-et-Loire 3). Commune réunie à celle de Tours par Arrêté Préfectoral du 21 mai 1964. Église du Christ-Roi. Civitas Turonum.
45 Saint-Symphorien. Cne de Chaingy. Saint Symphorien, 1812 (Cadastre).
45 Saint-Symphorien. Cne de Gémigny. Saint Symphorien, 1825 (Cadastre).

Saint Symphorien suivi d’un nom de lieu

28 Saint-Symphorien-le-Château. Cne d'Auneau-Bleury-Saint-Symphorien. Sanctus Simphorianus, 1219 (Cartulaire des Vaux-de-Cernay, p. 213) ; Sainct Symphorien, décembre 1388 (A.N.-JJ 133, n° 246, fol. 142 v°) ; Saint Simphorien, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 228) ; Saint Symphorien, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Symphorien, 1832 (Cadastre) ; Saint Symphorien le Château, Décret du 26 décembre 1968. Délimitation réalisée de Saint-Symphorien-le-Château d’avec Bleury, Gallardon et Montlouet et par Arrêté Préfectoral du 21 mai 1957, à la suite des opérations de remembrement. Délimitation réalisée de Saint-Symphorien-le-Château d’avec Auneau et Levainville par Arrêté Préfectoral du 22 mai 1958, à la suite des opérations de remembrement. Démembrement probable de la paroisse de Bleury. Église Saint-Symphorien. Pagus Carnotensis. Civitas Carnutum.
37 Saint-Symphorien-des-Ponceaux. Cne d’Avrillé-les-Ponceaux. De Sancto Symphoriano de Porcellis, 887 (Chronicon Turonense magnum) ; Sanctus Symphorianus de Porcellis, XIIe s. (Missale Beatae Martini) ; Comune de Porceaus, 1247 (A.N.-JJ 274, Querimoniae Turonum, n° 71) ; Hogerius Textor, de parrochia Porcorum, 1247 (A.N.-JJ 274, Querimoniae Turonum, n° 588) ; Petrus Advielli, de parochia Sancti Simphoriani Porcorum, 1247 (A.N.-JJ 274, Querimoniae Turonum, n° 890) ; Bartholomaeus Auberin, de parrochia Sancti Symphoriani de Portello [Porcello], 1247 (A.N.-JJ 274, Querimoniae Turonum, n° 1363) ; Petrus Odinelli, parrochianus Sancti Simphoriani Porchorum, 1247 (A.N.-JJ 274, Querimoniae Turonum, n° 1374) ; Aimericus Peile Oiseau, de parrochia Sancti Symphoriani des Porceaus, 1247 (A.N.-JJ 274, Querimoniae Turonum, n° 1379) ; Hugo Hiler, parrochianus Sancti Symphoriani de Porcellis, 1247 (A.N.-JJ 274, Querimoniae Turonum, n° 1381) ; Saint Symphorien des Pourseaux, 1479 (A.D. 37-G 972) ; Saint Syphorien des Pourceaux, 1612 (A.D. 37-G 972) ; Saint Symphorien des Pontceaux, ou des Ponceaux, 1661, 1669, 1704 (A.D. 37-G 972) ; Saint Simphorien des Ponceaux, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Symphorien des Ponceaux, 1829 (Cadastre) ; Saint Symphorien des Ponceaux, 1938 (cadastre). Le cadastre de 1938 comprend : Cimetière. Porcellus, dérivé de porculus, diminutif bas latin de porcus = porc, aboutit régulièrement à pourceau par diphtongue de la voyelle o et vocalisation du l en eau, transcrit ponceau par sigmatisme. Réunion réalisée de la commune de Saint-Symphorien-des-Ponceaux à celle d’Avrillé-les-Ponceaux par Ordonnance Royale du 31 décembre 1817. Démembrement probable de la paroisse d'Avrillé-les-Ponceaux. Église Saint-Symphorien. Civitas Andegavum.