Yagasse-Yzeures


Yagasse.
36 Yagasse. Cne d’Heugnes. Yagasse, 1835 (Cadastre) ; Yagasse, 1956 (Cadastre).

Yais. n. f. Vaariante : Haie.
18 Les Yais. Cne d’Ourouer-les-Bourdelins. Le village des Hays, 1586 (A.D. 18-19 H, prieuré d’Ourouer-les-Bourdelins) ; Les Hais, 1648 (A.D. 18-E, seigneurie du Moulin-Porcher) ; Le village des Aix, 1656 (A.D. 18-E, seigneurie du Moulin-Porcher) ; Les Aix, 1834 (Cadastre) ; Les Yais, 1945 (Cadastre).

Yaumerie. Yaume, nom de personne d’origine française.
36 La Yaumerie. Cne de Pruniers. La Yaumerie, 1839 (Cadastre) ; La Yaumerie, 1937 (Cadastre).

Yaumine.
18 Les Yaumines. Cne de Saint-Denis-de-Palin. Les Yaumines, 1830 (Cadastre) ; Les Yaumines, 1933 (Cadastre).

Ybaudon.
36 Les Ybaudons. Cne de Crevant. Les Ybaudons, XVIIIe s. (Carte de Cassini).

Yèble. n. m. Variante : Hièble.
 28 Les Yèbles. Cne de Berchères-Saint-Germain. Les Yèbles, 1809 (Cadastre de Berchères-la-Maingot) ; Les Yèbles, 1934 (Cadastre de Berchères-la-Maingot).
28 Les Yèbles. Cne de Baignolet. Les Yèbles, 1835 (Cadastre).
28 Les Yèbles. Cne de Gommerville. Les Yèbles, 1839 (Cadastre de Grandville-Gaudreville) ; Les Yèbles, 1944 (Cadastre de Grandville-Gaudreville).
28 Les Yèbles. Cne de Neuvy-en-Beauce. Les Yèbles, 1838 (Cadastre) ; Les Yèbles, 1936 (Cadastre).
28 Les Yèbles. Cne de Rouvray-Saint-Denis. Les Yèbles, 1838 (Cadastre) ; Les Yèbles, 1938 (Cadastre).
28 Les Yèbles. Cne de Villiers-Saint-Orien. Les Yèbles, 1831 (Cadastre) ; Les Yèbles, 1963 (Cadastre).
41 Yèble. Cne du Plessis-l’Échelle. Yèbe, XVIIIe s. (Carte de Cassini).
45 Les Yèbles. Cne de Charsonville. Les Yèbes, 1829 (Cadastre) ; Les Yèbles, 1950 (Cadastre).

Yèblerie. Variante : Hieblerie. Yèble et suffixe collectif erie ; terrain où pousse le yèble, terrain où abonde le yèble.
28 Les Yèbleries. Cne de Terminiers. Les Yèbleries, 1836 (Cadastre).

Yère. Variante : Yerre, Yèvre. Atur = nom de rivière. Atura ou Aturus aboutit régulièrement à Ierre en passant par la forme Edera, dont le e diphtongua au XIVe s.

Yermenonville. Latin Germanionis Villam. Gentilice Germanio, formé sur le nom de pays Germania = Germanie, et villa = domaine rural. Germanionem aboutit régulièrement à Yermenonville par palatalisation du g.
28 Yermenonville. Iermenonville, février 1415 (A.N.-JJ 168, n° 119, fol. 85) ; Germenonville, 1556 (A.D. 28-G, Saint-Maurice de Chartres) ; Germinionville, 1605 (A.D. 28-G, Maintenon) ; Yermenonville sous Gallardon, 1623 (A.D. 28-G 135) ; Yermenonvilla prope Galardonem, 1663 (Pouillé de Chartres) ; Yermenonville sous Gallardon, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 269) ; Yermenonville sous Gallardon, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Yermenonville, 1832 (Cadastre). Église Saint-Martin. Pagus Carnotensis. Civitas Carnutum.

Yerville. Bas latin Joiri Villa. Joirus, nom de personne d’origine germanique, et villa = domaine rural. Le passage du j, consonne, au y, semi-consonne, est fréquent.
28 Yerville. Cne de Voves. Joiri Villa, vers 1100 (Cartulaire Saint-Père-en-Vallée de Chartres) ; Ervilla, 1164 (A.D. 28-H, Léproserie du Grand-Beaulieu) ; Yerville, paroisse de Voves, 1252-1681 (A.D. 28-G 136) ; Hervilla, 1300 (B.M. de Chartres, Ms 24, Polyptyque du chapitre Notre-Dame de Chartres) ; Hyervilla, 1408 (A.D. 28-G 907) ; Gerville, 1565 (A.D. 28-G, Terrier de Reboulin) ; Hyerville, 1628 (A.D. 28-G, Terrier de Reboulin) ; Accord entre Louis Levassor, sieur d'Yerville, et Jean Billette, maçon et couvreur, pour recouvrir de tuiles le lieu seigneurial d'Yerville, 1657 (A.D. 28-E 2666) ; Lubin Levasseur, notaire à Voves, sieur d’Yerville, 1669 (A.D. 28-B 1657) ; Château dYerville, 1738 (Pouillé de Chartres, p. 52) ; Yerville, 1835 (Cadastre) ; Yerville, 1934 (Cadastre). Fief.

Yeux. n. m. plur. Variante : Œil.
28 Les Yeux-Bleds. Cne de Garnay. Les Yeubletz, 1584 (A.D. 28-G, chapitre Saint-Étienne de Dreux) ; Yeuxbleux, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Les Yeux Bleds, 1829 (Cadastre) ; Les Yeux Bleds, 1933 (Cadastre).
28 Les Yeux-Blets. Cne de Bailleau-l’Évêque. Champtier des Yeux Blets, 1769 (A.C. de Bailleau-l'Évêque-D 1) ; Champtier des Yeux Blets, 1809 (Cadastre) ; Les Yeux Blets, 1936 (Cadastre).
37 Les Sept-Yeux. Cne de Savigny-en-Véron. Les Sept Yeux, Haute Prairie du Véron, 1er décembre 1837 (acte Rossignol-Chinon).
45 Les Yeux-Gachelins. Cne de Saint-Martin-sur-Ocre. Les Yeux Gachelins, 1825 (Cadastre) ; Les Yeux Gachelins, 1976 (Cadastre).

Yvert.
28 Les Yverts. Cne de Gohory. Déclaration au Prieuré de Saint Michel de Gohory pour des terres sises aux Yverts, paroisse de Gohory, 1628-1755 (A.D. 28-H 2760).

Yves Montand.
18 Rue Yves-Montand. Cne de Bourges. Rue Yves Montand, 1999 (Délibération du Conseil Municipal).

Yèvre. Bas latin : Eburetum. Gaulois eburos = if, et suffixe collectif latin etum, accentué sur la 1re syllabe, aboutit régulièrement à Yèvre, domaine de l’if, terrain où abonde l’if, terrain planté d’ifs.
28 Yèvres. Eura ou Evra, vers 1115 (Cartulaire de Saint-Père-en-Vallée de Chartres) ; Evorea, vers 1125 (Cartulaire de Saint-Père-en-Vallée de Chartres) ; Evora, 1192 (A.D. 28-G, Prieuré Notre-Dame de la Bourdinière) ; Eureia, 1218 (A.D. 28-G, Prieuré Notre-Dame de la Bourdinière) ; Ièvre, janvier 1404 (A.N.-JJ 158, n° 248, fol. 125) ; Yèvres, février 1414 (A.N.-JJ 167, n° 309, fol. 445 v°) ; Yèvre, avril 1473 (A.N.-JJ 195, n° 825, fol. 200) ; Guillemin Percheron, pauvre labouruer à Yèvres, octobre 1486 (A.N.-JJ 218, n° 209, fol. 115) ; Ièvre, 1489 (A.D. 28-G, chapitre Notre-Dame de Chartres) ; Yeuvre, février 1502 (A.N.-JJ 234, n° 399, fol. 215 v°) ; Huèvre, 1586 (A.D. 28-E, Seigneurie de Courtalain) ; Yeuvre, 1612 (A.D. 28-E, Terrier de Cernay) ; Yèvre, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 270) ; Yèvre, XVIIIe s. (Carte de Cassini). Pourrait aussi provenir de l’hydronyme préceltique avara = cours d’eau, qui dut d’abord désigner la rivière de l’Ozanne. Délimitation réalisée d’Yèvres d’avec Gohory par Ordonnance Royale du 2 décembre 1833 : Yèvres reçoit les hameaux de Montemont et de Malassis, soit 55 habitants ; Gohory reçoit les sections K et L de Yèvres, soit 194 habitants (A.N.-F 2 II Eure-et-Loir 2, plan annexé à la minute). L’Arrêté Préfectoral du 6 septembre 1962 modifie les limites entre les communes de Bullou et d’Yèvres, cette dernière perdant 13 ha. Église Notre-Dame. Civitas Carnutum.
45 Yèvre-le-Châtel. Cne de Yèvre-la-Ville. De Evra Castro, novembre 1270 (Olim, t. I, fol. 180 r°, n° 1598) ; Evre le Chastel, mars 1376 (A.N.-JJ 108, n° 188, fol. 111) ; Yèvre le Chastel, août 1383 (A.N.-JJ 123, n° 108, fol. 58 v°) ; Yèvre le Chastel, juillet 1447 (A.N.-JJ 176, n° 518, fol. 320) ; Ièvre le Chastel, janvier 1500 (A.N.-JJ 232, n° 130, fol. 67) ; Hommage des champarts et trémas [trémois = blé de mars] sis à Yèvre le Chastel, mouvant de la chastellenie de Yèvre le Chastel, rendu par René de Gauville, fils et héritier de Jean de Gauville, 21 juin 1529 (A.N.-P 10, n° 316) ; Hommage des cjhampars et trémas en la ville d’Yèvre, rendu par Jean de Gauville, escuyer, fils et héritier de René de Gauville, 11 mars 1551 (A.N.-P 11, n° 38) ; Yèvre le Châtel, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 270) ; Yèvre le Châtel, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Yèvre le Patriote, nivôse an 2 (Délibération du Conseil Général de la Commune) ; Le Bourg, 1812 (Cadastre d’Yèvre-le-Châtel) ; Yèvre le Châtel, 1975 (Cadastre). Réunion réalisée d’Yèvre-le-Châtel d’avec Souville par Ordonnance Royale du 1821 (A.N.-F 2 II Loiret 2, plan annexé à la minute). Pourrait aussi provenir de l’hydronyme préceltique avara = cour d’eau, qui dut d’abord désigner la rivière de la Rimarde. Réunion réalisée d’Yèvre-le-Châtel d’avec Souville par Ordonnance Royale du 12 septembre 1821 (A.N.-F 2 II Loiret 2, plan annexé à la minute). Réunion réalisée d’Yèvre-le-Châtel d’avec Yèvre-la-Ville par Arrêté Préfectoral du 9 avril 1973. Église et Prieuré Saint-Gault. Civitas Aurelianorum.
45 Yèvre-la-Ville. Evera villa, 855 (Actes de Charles II le Chauve, n° 468) ; Evra, XIe s. (De Ministerio Arnulfi, Pouillé de Sens, p. 323) ; Evera, 900 (Actes de Charles III le Simple, n° 73) ; Everam, 5 juin 967 (Actes de Lothaire, n° 28, p. 70) ; Villa Sancti Benedicti in Vicaria Peverense sita, id est Evera, avant le 4 août 1071 (Actes de Philippe 1er, n° 55, p. 147) ; Homines Evrie, 1181 (Acte de Philippe II Auguste, n° 44) ; Apud Evram, 1190 (Acte de Philippe II Auguste, n° 415) ; Terram Evere, 1191 (Acte de Philippe II Auguste, n° 483) ; Apud Everam, 1202 (Acte de Philippe II Auguste, n° 254-255) ; Jean Trepiau, d’Yèvre la Ville, décembre 1319 (A.N.-JJ 59, fol. 76 v°, n° 177) ; Yèvre la Ville, 15 juin 1353 (A.N.-JJ 82, n° 8, fol. 2 v°) ; Yèvre la Ville, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 270) ; Yèvre la Ville,. Pourrait aussi provenir de l’hydronyme avara = cours d’eau. Réunion réalisée d’Yèvre-le-Châtel d’avec Yèvre-la-Ville par Arrêté Préfectoral du 9 avril 1973. La commune de Souville forme les sections A, B, C et D d’Yèvre-le-Châtel. La section A de Yèvre-la-Ville et les sections E, F d’Yèvre-le-Châtel forme la dernière assiette de la commune. Église Saint-Martin. Civitas Aurelianorum.

Ygnerelle.
41 Ygnerelle. Cne de Chambon-sur-Cisse. Ygnerelle, XVIIIe s. (Carte de Cassini).

Ygonnière. Ygon, nom de personne d’origine française.
41 Les Ygonnières. Cne de Theillay. Le lieu des Igonnières, proche la forêt de Vierzon, 1672 (A.D. 18-B 3077) ; Les Zigonières, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Les Ygonnières, 1831 (Cadastre) ; Les Ygonnières, 1961 (Cadastre).

Ymeray. Bas latin Ismeriacus. Hildimar ou Hilmarus, Nom d’homme d’origine germanique, et pseudo suffixe acus.
28 Ymeray. Ymereium, vers 1150 (B.M. de Chartres, Ms 25, Nécrologe du chapitre de Notre-Dame de Chartres) ; Pro mestivariis de Hismereio, 17 novembre vers 1255 (Livre d’anniversaires, Obituaires de Sens, t. 2, p. 124) ; Ymeray, 1258-1743 (A.D. 28-G 136) ; Hymereyum, 1270 (A.D. 28-G, Saint-Saturnin de Chartres) ; Ymeriacum, 1300 (B.M. de Chartres, Ms 24, Polyptyque du chapitre Notre-Dame de Chartres) ; Ymeré, juin 1377 (A.N.-JJ 110, n° 360, fol. 204 v°) ; Ymeré, 1384 (A.D. 28-G 907) ; Imeray, juillet 1396 (A.N.-JJ 150, n° 63, fol. 33) ; Quarteria vinerum sitarum apud Ymereyum, 6 juin XIVe s (Obituaire de Sens, t. 2, p. 146) ; Ymeray, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 271) ; Ymeray, XVIIIe s. (Carte de Cassini). Délimitation réalisée d’Ymeray d’avec Saint-Chéron-du-Chemin par Ordonnance Royale du 3 septembre 1817 : Ymeray cède sa partie du village du Gué-de-Longroi à Saint-Chéron-du-Chemin (A.N.-F 2 II Eure-et-Loir 1, plan annexé à la minute). Paroisse démembrée pour former celle de Saint-Chéron-du-Chemin = Le Gué-de-Longroi. Église Saint-Georges. Pagus Carnotensis. Civitas Carnutum.

Ymonville. Bas latin : Ymonis villa. Imo, Ymo, nom d’homme d’origine germanique, et villa = domaine rural.
28 Ymonville. Ymonis villa, vers 954 (Cartulaire Saint-Père-en-Vallée de Chartres) ; Imonis Villa, vers 1080 (Cartulaire de Saint-Père-en-Vallée de Chartres) ; Haimonis Villa, vers 1120 (Cartulaire de Saint-Père-en-Vallée de Chartres) ; Imonvilla, 1246 (A.D. 28-H, Abbaye Saint-Chéron de Chartres) ; Ymonvilla, 1256 (Cartulaire des Vaux-de-Cernay, p. 524) ; Ymonville, novembre 1375 (A.N.-JJ 107, n° 293, fol. 144) ; Ymonville le Grant, 24 juillet 1376 (A.N.-JJ 109, n° 164, fol. 77 v°) ; Ymonville en Chartrain, 1404 (A.D. 28-H, Abbaye de Bonneval) ; Imonville, juillet 1451 (A.N.-JJ 184, n° 142, fol. 95) ; Ymonville la Grand, 1565 (A.D. 28-E, Terrier de Reboulin) ; Himunvilla Magna, 1663 (Pouillé) ; Ymonville la Grande, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 271) ; Ymonville la Grande, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Une ferme et métairie scize à Immonville, 12 mars 1791 (A.D. 28-1 Q 77, P.V. n° 15. Biens Nationaux). Église Saint-Saturnin. Pagus Carnotensis. Civitas sarnutum.

Ymorville. Bas latin Hamorvilla. Hamor, nom de personne d’origine germanique, et villa = domaine rural.
28 Ymorville. Cne d’Allonnes. Agripennos apud Amosvillam, 20 novembre après 1123 (Obituaires de Sens, t. 2, p. 24) ; Apud Amosvillam, 22 janvier 1139 (Obituaires de Sens, t. 2, p.35) ; De Hamorvilla, 1224 (A.D. 28-G 2588) ; Hemorvilla, 1245 (A.D. 28-H, Abbaye Saint-Chéron de Chartres) ; Ymerville, 1447 (A.D. 28-G 907) ;Mathry de Boutarvillier, seigneur d’Ymorville, 1524 ; Terre à Ymorville, paroisse d'Allonnes, 1523-1774 (A.D. 28-H 2943) ; Antoine du Tellier, seigneur d’Ymorville, 1560 ; Franciscus du Tellier, filius deffuncti Anthonii du Tellier, domini temporalis de Emorvilla, 28 juillet 1576 (A.C. de Theuville-GG 1) ; Jean du Puy, seigneur d’Ymorville, 1560 ; René de Villequoy, seigneur d’Ymorville, 1581 ; Aimée de Villereau, veuve Isaac de Villeroy, dame d’Ymorville, 1615 (A.D. 28-E 281) ; Gervais Le Noir, seigneur d’Yorville, 1647 (A.D.28-E 697) ; Jean Fouquet, équier, sieur de Sainte Croix et d’Imorville, 25 janvier 1678 (A.C. d’Allonnes-GG 1 inhumation) ; Jean Fouquet, esquier, sieur de Sainte Croix, 3 août 1693 (A.C. d’Allonnes-GG 1) ; Charles Léonard Fouquet de Sainte Croix, seigneur d’Ymorville, 1702 (A.D. 28-E 499) 6 août 1707 (A.C. d’Allonnes-GG 2) ; Jean Baptiste Fouquet, seigneur d’Imorville, 1721 (A.C. d’Allonnes-GG 2); Château d’Ymorville, 1738 (Pouillé de Chartres, p. 33) ; Imorville, ou Immorville, 26 mars 1791, (A.D. 28-1 Q 77, P.V. n° 70. Biens Nationaux) ; Ymorville, 1835 (Cadastre) ; Ymorville, 1933 (Cadastre). Bien National. Fief relevant de Frainville.
28 Ymorville. Cne de Prunay-le-Gillon. Terram in territorio de Hemorvilla, in parrochia de Pruneto Gilonis, 1299 (A.D.28-H 2942) ; Terre au terroir d'Imorville, 1574 (A .D. 28-H 2942) ; Imorville, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Ymorville, 1826 (Cadastre) ; Ymorville, 1937 (Cadastre).

Ynerville. Yner, nom d’homme d’origine germanique, et ville = domaine rural.
28 Ynerville. Cne de Saint-Sauveur-Marville. Jehan de Chambray, seigneur d’Inerville, 1470 ; Fief d’Inerville, relevant de Châteauneuf, 1499-1655 (A.D. 28-E 1372) ; Inerville, sis paroisse de Sainct Sauveur, 1580 (A.D. 28-E 1372) ; Hommage des terre et seigneurie d’Innerville, mouvant de la baronnie de Châteauneuf en Thymerais, rendu par Nicolas Le Clerc de Lesseville, conseiller aux conseils du Roi, seul héritier ab intestat en l’estoc maternel d’Anne Le Camus de Jambville, femme de François Christophe de Lévy, duc d’Ampville, conseiller aux conseils du Roi, gouverneur et lieutenant général du Roi en Limousin, 5 juillet 1651 (A.N.-P 182, n° 248) ; Le fief, terre et seigneurie d’Yonville, paroisse de Saint Sauveur, 12 février 1738 (acte Perret-Paris) ; Hommage du fief, terre et seigneurie d’Yonville, mouvant de la baronnie de Châteauneuf en Thymerais, rendu par Charles Bernard de Montigny, conseiller secrétaire du Roi, maison couronne de France et des finances, 16 juillet 1739 (A.N.-P 202 n° 4) ; Charles Bernard de Montigny, seigneur d’Ynerville, 1752 ; Ynerville, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Inerville, 1817 (Cadastre de Saint-Sauveur-Levasville) ; Ynerville, 1937 (Cadastre de Saint-Sauveur-Levasville). Commune de Saint-Sauveur-Levasville. Fief relevant de Châteauneuf-en-Thymerais.

Ynière. Ynier, nom de personne d’origine française.
28 Ynière. Cne de Gallardon. Thèvenot Guy, laboureur de vignes à Ynières, près de Gallardon, avril 1390 (A.N.-JJ 138, n° 182, fol. 219).

Yon. Nom de personne d’origine latine.
28 Les Yons. Cne Lèves. Les Yons, 1808 (Cadastre).
28 Yon-sur-le-Chemin-de-Levéville. Cne Lèves. Yon sur le Chemin de Levéville, 1808 (Cadastre).

Yoterie. Yottier, nom de personne d’origine française.
18 La Yoterie. Cne de Meillant. La Yoterie, 1827 (Cadastre).
37 La Yotterie. Cne de Mosnes. La Hiotterie, XVIIIe s. ; La Yotterie, 1954 (Cadastre).

Yougoslavie. Pays des Slaves du Sud.

Ypournay. Bas latin Hypurniacus. Gentilice Hypurnius et suffixe acus.
18 Ypournay. Cne de Saint-Saturnin. Ypournais, 1729 (A.D. 18-G, Reigny) ; Village d'Ypournais, 1811 (Cadastre) ; Ypournais, 1847 (B.N.-Ms Français 9846) ; Ypournay, 1955 (Cadastre).

Ypres. Ville de Belgique.
37 Rue d’Ypres. Cne de Tours. Rue d’Ypres, 31 janvier 1792 (Délibération du Conseil Municipal) ; Rue d’Ypres, 1975 (Cadastre). Commune et paroisse de Saint-Symphorien.

Yron. Iro, nom d’homme d’origine germanique.
28 Yron. Cne de Cloyes-les-Trois-Rivières. Iron, vers 1050 (A.D. 28-G, Prieuré Saint-Martin de Chamars) ; Hirun, vers 1110 (A.D. 28-H, Abbaye de Thiron) ; Iron près Cloyes, 1525 (Étude de Châteaudun) ; Le fief d'Yron, membre de l'abbaye de la Trinité de Thiron, 1723 (A.D. 28-H 4807) ; Yron, 1833 (Cadastre Cloyes-sur-le-Loir) ; Yron, 1963 (Cadastre Cloyes-sur-le-Loir). Chapelle Notre-Dame. Fief. Commune de. Cloyes-sur-le-Loir.
28 Petit-Yron. Cne de Cloyes-les-Trois-Rivières. Petit Yron, 1963 (Cadastre de Cloyes-sur-le-Loir). Commune de Cloyes-sur-le-Loir.

Ysengrine. Ysengrin, nom d’homme d’origine germanique. Le féminin sous-entend terre.
45 L’Ysengrine. Cne de Cernoy-en-Berry. L’Ysengrine, 1824 (Cadastre) ; L’Ysengrine, 1961 (Cadastre).

Yser. Celtique Isara. Racine indo-européenne probable isarós = impétueux, vif, vigoureux. Fleuve côtier du Nord de la France, département du Nord, et du Nord-Ouest de la Belgique, Flandres occidentales. Bataille du 18-27 octobre 1914.
45 Rue de l’Yser. Cne d’Orléans. Rue de l’Yser, 27 mai 1960 (Délibération du Conseil Municipal) ; Rue de l’Yser, 1969 (Cadastre).
45 Rue de l’Yser. Gien.Rue de l’Yser, 23 novembre 1918 (Délibération du Conseil Municipal) ; Rue de l’Yser, 1970 (Cadastre). Quartier de Montbricon. Voie communale n° 5. Tronçon du Chemin Perré.

Yssertieux. n. m. XIIIe s. Bas latin exartilis ; exsartum = terre défrichée, et suffixe pluriel latin iles servant à former les adjectifs : exsartiles (terras) = (terres) pouvant être défrichées.

Yssertieux employé absolument

18 Les Yssertieux. Cne de Chalivoy-Milon. Locus qui dicitur Exartilis, in pago Biturico, in vicaria Borbonensi, in centena Vavarensi, in villa Calliveto, janvier 880 (Cartulaire de Saint-Sulpice de Bourges, charte 81, p. 176) ; In pago eodem [Biturgo], in ipsa vicaria [Borbonensi], in centena eadem [Dunensi], in loco qui dicitur Exartilis, et terminatur ab uno latere alodo ipisus Milonis, et altero fluviolo qui dicitur Borono [Bouzon], janvier 880 (Cartulaire de Saint-Sulpice de Bourges, charte 81, p. 177) ; Issartiaus, 1287 (Raynal, Histoire du Berry, t. I, p. 468) ; Yssarteos, 1347 (A.D. 18-4 H, abbaye Saint-Sulpice de Bourges ; Raynal, Histoire du Berry, t. I, p. 468) ; Hommage d’Issertieux (de Essertis ou des Essarts), près Montfaucon, avec la justice haute, moyenne et basse, ou des Essarts. Homagium de Villa de Essertis prope Montem Falconis. Venerabilis vir Joannis de Montio, burgensis de Ligniaco super Marnam, homagium fecit et fidelitatis praestitit juramentum domino Bituricensi de villa de Essertis prope Montem Falconis, cum omnimoda jurisdictione alta, media et bassa, suisque pertinentiis et dependentiis universis quas tenet in feodum ad causam archiepiscopatus Bituricensis, ad quo prae dominus archiepiscopus admisit, 22 juillet 1408 (A.D. 18-1 G 1, p. 33, 121, n° 685) ; Yssartioulx, 1449 (A.D. 18-4 H, abbaye Saint-Sulpice de Bourges) ; Le village d’Issartieulx, 1528 (A.D. 18-4 H, abbaye Saint-Sulpice de Bourges) ; Le villaige d’Issartieux, 1540 (A.D. 18-111 G 2) ; La seigneurie d’Issertieux, 1569 (Nicolay, Description du Bourbonnois) ; Le village de Yssertieulx, 1592 (A.D. 18-4 H, abbaye Saint-Sulpice de Bourges) ; Le village d’Issertieux, 1673 (A.D. 18-4 H, abbaye Saint-Sulpice de Bourges) ; Le Château d’Yssertieux, Les Yssertieux, 1831 (Cadastre) ; Les Yssertieux, 1847 (B.N.-Ms Français 9844) ; Les Yssertieux, 1933 (Cadastre). A.D. 18-98 J. Chapelle. Fief relevant de l’archevêché de Bourges.

Yssertieux précédé d’un adjectif qualificatif

18 Le Petit-Yssertieux. Cne de Chalivoy-Milon. Le Petit Yssertieux, 1831 (Cadastre) ; Le Petit Yssertieux, 1933 (Cadastre).

Yutier. Variante d’Hutier, ou Itier, id = trravail, et hari = armée, nom de personne d’origine germanique.
37 Les Yutiers. Cne de La Chapelle-aux-Naux. Le village de l’Ereau aux Ytiers, fief de Coullomiers [Villandry], 31 août 1631 (acte Le Roy-Langeais) ; A l’Hereau aux Ytiers, parroisse Saint Jehan dud. Langeais, 2 novembre 1632 (acte Le Roy-Langeais) ; L’Hereau Hittier, 2 juin 1652 (acte Thibault-Langeais) ; Au lieu de l’Hereau aux Hittiers, fief de Villandry, 7 août 1653 (acte Thibault-Langeais) ; L’Hereau des Hittiers, dicte paroisse Saint Jehan du costé de lad. Chapelle aux Naux, joignant au chemin tendant de la rivière de Loire à aller aux chemin tendant de Rupeane au Becq de Cher, 29 mai 1654 (acte Thibault-Langeais) ; L’Hereau Hittier, 10 décembre 1654 (acte Thibault-Langeais) ; L’Hereau des Huitiers, 7 décembre 1682 (acte Froger-Langeais) ; L’Hereau Hittiers, dite parroisse Saint Jehan du costé de la Chapelle aux Naux, 21 décembre 1662 (acte Thibalt-Langeais) ; L’Hereau Hitier, parroisse Saint Jehan, 3 février 1667 (acte Thibault-Langeais) ; L’Hereau des Hitiers, fresche des Roberts, fief de [Sainte Anne de] Fouchault, 10 novembre 1668 (acte Nau-Langeais) ; Au Village des Hittiers, dite parroisse de Saint Jehan de Langeais, 20 janvier 1670 (acte Thibault-Langeais) ; L’Hereau des Hittiers, parroisse Saint Jehan, 20 juillet 1670 (acte Thibault-Langeais) ; L’Hereau Hittiers, parroisse Saint Jehan, joignant aux commungs dud. hereau et à la rue dud. hereau à aller aux pied du Grand Bois, 27 décembre 1671 (acte Thibault-Vallères) ; L’Hereau des Hittiers, paroisse dud. Saint Jean, 10 juin 1692 (acte Thibault-Vallères) ; L’Hereau Ytiers, 18 septembre 1694 (acte Thibault-Vallères) ; Le Village des Hittiers, 6 avril 1700 (acte Bruslon-Langeais) ; L’Hereau des Huitiers, 7 mars 1757 (acte Aubin-Langeais) ; Une closerie sittuée aux Villages des Hitiers, en lad. Isle de la Chapelle aux Naux, 2 décembre 1763 (acte Fortin-Langeais) ; A lad. Chapelle aux Naux, au lieu appellé les Hittiers, 28 mars 1777 (acte Fortin-Langeais) ; Les Hétiers, 14 mars 1784 (acte Tulasne-Langeais) ; Les Hitiers, 13 mai 1792 (acte Tulasne-Langeais) ; Les Hitiers, 28 ventôse an 11 (acte herpin-Langeais) ; Une maison située au Village des Hytiers, commune de la Chapelle aux Naux, 29 mars 1806 (acte Herpin-Langeais) ; Au lieu des Hytiers, ditte commune de la Chapelle aux Naux, 29 décembre 1806 (acte Herpin-Langeais) ; Les Yutiers, 1813 (Cadastre) ; Une maison située aux Huitiers, commune de la Chapelle aux Naux, 12 décembre 1875 (acte Collinet-Langeais) ; Les Yutiers, 1945 (Cadastre).
37 Rue des Yutiers. Cne de La Chapelle-aux-Naux. Rue des Yutiers, 1945 (Cadastre).

Yvaudière. Yvaud, aphérèse de Livault, variante de Liébault, leut = peuple, et bald = audacieux, nom d’homme d’origine germanique.
37 Les Yvaudières. Cne de Saint-Pierre-des-Corps. La Libaudière, XVIIIe s. (A.D. 37-G 199) ; La Libaudière, XVIIIe s. (A.D. 37-G 196) ; La Livaudière, XVIIIe s. (A.D. 37-G 213) ; La Livaudière, 1777 (A.D. 37-H 497) ; Le lieu de la Linaudière, paroisse de Saint Pierre des Corps, XVIIIe s. (A.D. 37-H 497) ; Les Yvaudière, 1811 (Cadastre) ; Terre située aux Vivaudières, même commune de Saint Pierre des Corps, joignant du Nord le chemin, du midi le chemin des Vivaudières, 25 mai 1866 (acte Scoumanne-Tours) ; Les Yvaudières, 1968 (Cadastre).
37 Rue des Yvaudières. Cne de Saint-Pierre-des-Corps. Rue des Yvaudières, (Délibération du Conseil Municipal).

Yvereau. Yve, racine gauloise ou germanique iv = if, nom d’homme d’origine germanique, et suffixe diminutif français ereau ; nom d’homme dès le XIVe s.
28 Les Yvereaux. Cne de Maillebois. Les Yvereaux, 1818 (Cadastre) ; Les Yvereaux, 1958 (Cadastre).

Yvernault. Variante : Hiverneau.
36 Yvernault. Cne de Mosnay. In villa Yvernali, mansum (nostrum) cum omnibus sibi adjacentibus, 2 septembre 917 (B.N.-Ms Latin 12.820. Cartulaire de Déols) ; Villam de Hybernali tenebo et servabo [Andreas Calviniaco, dominus Castri Rodulfo] liberam et immunem, reddita mihi consueta censa avenae, 5 avril 1202 (Migne, Patrologie Latine, vol. 214, col. 1048) ; Villa Yvernalis, 1212 (B.N.-Ms Latin 12.820. Cartulaire de Déols) ; Et villa de Hyvernali, septembre 1220 (A.N.-Q 337, fol. 72) ; Procès entre Gabriel Lescureuil, curé de Mosnay, et le fermier du domaine d’Yvernault appartenant aux Jésuites de Bourges, au sujet de la portion congrue du curé, 12 août 1692 (A.D. 36-2 B 291) ; Rapport d’experts sur les réparations à effectuer à la seigneurie d’Yvernault fait à la requête des Jésuites de Bourges, 12 décembre 1755 (A.D. 36-1 B 75) ; Hiverneau, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; La métairie appellée d’Hiverenaud, situé dans la commune de Monay, 13 mars 1793 (A.D. 36-2 Q 289, P.V. 1. Biens Nationaux) ; La métairie appellée d’Hivernaud, dépendant de l’abbaye du même nom, qui conciste en bâtiment, terres, prés, paccages, jardin, qui comprend une chapelle, une grange avec 2 écuries, la maison du métayer, 4 écuries à la suite, le tout en très mauvais état, La mazure du bâtiment de la ci devant abbaye, Terre en jardin dans lequel il y a un puit et des arbres fruitiers, située paroisse de Maunay 30 mars 1793 (A.D. 36-2 Q 290, P.V. 385. Biens Nationaux) ; Yvernault, 1840 (Cadastre) ; Yvernault, 1933 (Cadastre). Prieuré Saint-Aoustrille. Bien National. Fief.

Yves. Germanique Yvo, dont Yves représente le cas sujet de l'ancien français, et Yvon, le cas régime. Racine gaulois probable iv = bois rouge, if.

Yves Chauvin.
37 Rue Yves-Chauvin. Cne de Ballan-Miré. Les Berges, 1825 (Cadastre) ; Les Berges, 1935 (Cadastre) ; Rue Yves Chauvin, 2010 (Cadastre).

Yves Genet.
41 Rue Yves-Genet. Cne de Blois. Voie nouvelle : Rue Yves Genet, 10 avril 2003 (Délibération du Conseil Municipal).

Yves Hervé.
28 Rue Yves-Hervé. Cne de Cloyes-les-Trois-Rivières. Rue Yves Hervé, 27 Mars 1974 et 1er janvier 1987 (Délibération du Conseil Municipal de Cloyes-sur-le-Loir). Commune de Cloyes-sur-le-Loir.

Yves Montand. Ivo Levi.
18 Rue Yves-Montand. Cne de Bourges. Lazenay, 1814 (Cadastre) ; Village de Lazenay, 1967 (Cadastre) ; Rue Yves Montand, 1999 (Délibération du Conseil Municipal).

Yvette. Dérivé du nominatif  Ivo = Yves, nom de personne d’origine francique. Le féminin sous-entend terre ou correspond à la transcription phonétique de la prononciation ligérienne de la finale et / ette. Rivière, affluent de l’Orge, suppose une autre origine.
28 La Yvette. Cne d’Écrosnes. La Yvette, 1833 (Cadastre).
45 Rue de l’Yvette. Cne d’Olivet. Clos d’Yvremon, 1827 (Cadastre) ; Rue de l ’Yvette, 1968 (Cadastre).

Yvon. Variante : Hivon, Ivon. Ivo, iv = if, racine commune au gaulois et au germain. Nominatif Yvo, accusatif Yvon. Nom d’homme d’origine francique dérivé de l’accusatif.
37 Les Yvons. Cne de Marigny-Marmande. Les Yvons, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; La borderie des Yvons, située commune de Marigny, joignant du couchant au chemin de Marigny à Luzé, 24 germinal an 6 (A.D. 37-1 Q 459, P.V. 943. Biens Nationaux) ; Au village des Yvons, commune de Marigni, une chambre basse, 29 floréal an 6 (A.D. 37-1 Q 459, P.V. 952. Biens Nationaux) ; Les Yvons, 1836 (Cadastre) ; Les Yvons, 1954 (Cadastre). Bien National.
45 Les Yvons. Cne d’Autry-le-Châtel. Les Yvons, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Les Yvons, 1824 (Cadastre) ; Les Yvons, 1957 (Cadastre).

Yvon Villarceau.
41 Rue Yvon-Villarceau. Cne de Vendôme. Rue Yvon Villarceau, 1966 (Cadastre).

Yvonne de Galais. Double mystérieux d’Yvonne de Quièvrecourt, jeune fille qu’Alain-Fournier entrevit brièvement, autour de laquelle tout se cristallise dans son roman, Le Grand-Meaulnes.
18 Allée Yvonne-de-Galais. Cne de Nançay. Allée Yvonne de Galais, 1998 (Cadastre).

Yvonneau. Yvon, nom de personne d’origine francique, et suffixe diminutif français eau.
41 Les Yvonneaux. Cne de Saint-Amand-Longpré. Les Yvonneaux, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Les Yvonneaux, 1835 (Cadastre de Longpré) ; Les Yvonneaux, 1936 (Cadastre de Longpré).
41 Yvonneau. Cne de Fréteval. Yvonneau, 1832 (Cadastre) ; Yvonneau, 1937 (Cadastre).

Yvonnerie. Yvon, nom d’homme d’origine franque à l’accusatif, avec agglutination de l’article défini élidé.
37 L’Yvonnerie. Cne d’Auzouer-en-Touraine. La Livonnière, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; L’Yvonnerie, 1835 (Cadastre).

Yvonnet. Variante : Ivonnet. Yves, accusatif Yvon, nom de personne d’origine francique, et suffixe diminutif français et.
45 Les Yvonnets. Cne de Saint-Maurice-sur-Aveyron. Le Yvonnais, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Les Yvonnets, 1831 (Cadastre) ; Les Yvonnets, 1961 (Cadastre).

Yvonnetterie. Yvonnet, nom de personne d’origine française.
45 Les Yvonnetteries. Cne de Chuelles. Les Yvonnetteries, 1824 (Cadastre) ; Les Yvonnetteries, 1946 (Cadastre).

Yvonnière. Variante : Ivonnière. Yvon, nom d’homme d’origine francique.
41 L’Yvonnière. Cne de Ternay. L’Yvonnière, 1823 (Cadastre) ; L’Yvonnière, 1958 (Cadastre).

Yvorin. Ivoire et suffixe diminutif in. Nom de personne dès le XIVe s.
28 Les Yvorins. Cne de Saint-Victor-de-Buthon. Les Yvorins, 1833 (Cadastre) ; Les Yvorins, 1936 (Cadastre).

Yvoy. n. m. Variante : Ivoy.
41 Rue d’Yvoy. Cne de Chaumont-sur-Tharonne. Rue du Ludde, 1838 (Cadastre) ; Rue d’Yvoy, 1959 (Cadastre). C.D. n° 35.
41 Yvoy-le-Marron. Yvoy, juillet 1352 (A.N.-JJ 81, n° 389, fol. 190 v°) ; Yvoy en Sologne, 23 juillet 1376 (A.N.-JJ 109, n° 192, fol. 90) ; Yvoy, mars 1412 (A.N.-JJ 166, n° 124, fol. 80) ; Yvoi, avril 1470 (A.N.-JJ 195, n° 361, fol. 101) ; Yvoy, septembre 1471 (A.N.-JJ 195, n° 589, fol. 153 v°) ; Ivoy, juin 1487 (A.N.-JJ 225, n° 377, fol. 83 v°) ; Yvoy, février 1486 (A.N.-JJ 211, n° 271, fol. 67) ; Yvoi, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 271) ; Yvoy le Galeux, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Yvoy le Galeux, 1838 (Cadastre) ; Yvoy le Marron, Ordonnance Royale du 14 juin 1841. Le complément d’Yvoy date du XVIe s. ; Galeux s’explique par la fontaine du lieu dont l’eau passait pour souveraine dans le traitement de la maladie de la gale ; et marron par la production de châtaignes dans la commune. Église Saint-Caprais. Civitas Aurelianorum.

Yvremont. Yvre, Eburius, nom d’homme d’origine gauloise, et mont = hauteur.

Yys. n. m. Variante : If.
28 Les Yys. Cne des Corvées-les-Yys. His, 1085 (A.D. 28-H, Prieuré de Chuisnes) ; Isicia, 1120 (Cartulaire de Thiron, t. 1) ; Hehsii, 1177 (Cartulaire de Thiron, t. 2) ; Ysi, 1232 (A.D. 28-G, chapitre Notre-Dame de Chartres) ; Les Yys, 1366 (A.D. 28-H, Abbaye Saint-Jean-en-Vallée de Chartres) ; Les Yis, 1740 (B.M. d’Orléans, Ms 995, fol. 122) ; Les Yys, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Les Yys, 1833 (Cadastre) ; Les Yys, 1957 (Cadastre). Réunion réalisée des Corvées d’avec les Yys sous le nom Les Corvées-les-Yys, par Ordonnance Royale du 18 mars 1836 (A.N.-F 2 II Eure-et-Loir 2, plan annexé à la minute). La paroisse des Yys se stiuait au milieu de 200 arpens de bois, sections A et B de la nouvelle commune. Église Saint-Pierre. Pagus Carnotensis. Civitas Carnutum.

Yzeure. Itius, nom de personne d’origine gauloise, et o-durum = porte fortifié, forteresse ; la porte ou maison d’Itius.
37 Yzeures-sur-Creuse. Iciodurum vicus, pagus Iciodorensis, vers 590 (Grégoire de Tours, Histoire des Francs, Liv. X, ch. 31) ; Ysorium, XIIIe s. ; Yzeure, juin 1490 (A.N.-JJ 221, n° 21, fol. 20 v°) ; Yzeures, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Yzeures sur Creuse, décret du 9 septembre 1926. Temple gallo-romain dédié à Minerve. Réunion réalisée pour partie de la commune de Saint-Michel-du-Bois d’avec Yzeures-sur-Creuse, qui reçoit : Bel Air (A.N.-F 2 II Indre-et-Loire 3). Le décret du 23 juin 1947 modifie les limites entre Tournon-Saint-Pierre et Yzeures-sur-Creuse : l’ancienne limite partageait en 2 parties le château de Gaudru et la Joussière, et la nouvelle attribue entièrement Gaudru à Tournon-Saint-Pierre et la Jousière à Yzeures-sur-Creuse. Église Notre-Dame, prieuré Saint-Saturnin. Civitas Turonum.